Régies financières - Voici les Directeurs généraux qui vont faire gagner Gbagbo

Huit ans de guerre ! Mais miraculeusement l’Etat de Côte d’Ivoire a pu payer continuellement les fonctionnaires. Un cas rare dans les pays en guerre. Mais ce succès repose sur des hommes, de vrais patriotes à la tête des régies financières.
Le premier miracle opéré par les refondateurs a été le budget sécurisé qui a suscité des craintes dans le camp des puissances impérialistes. En tout cas, les refondateurs continuent de faire des miracles et pas des moindres. Le deuxième miracle, c’est bien celui qui est en cours depuis huit ans de guerre. Malgré la partition du territoire ivoirien, l’Etat a pu faire face à ses obligations vis-à-vis des fonctionnaires ivoiriens. Plus, l’Etat a réglé ses dettes, tant intérieure qu’extérieure. Mieux, l’Etat a généreusement augmenté le salaire de certains corps professionnel. Une vraie embellie en temps de crise ! Si l’économie ivoirienne respire aussi bien, c’est grâce à l’impulsion donnée par les ministres de l’économie et des finances Bohoun Bouabré et Charles Diby Koffi. Les seules ressources de la zone gouvernementale ont pu faire fonctionner toute la Côte d’Ivoire. Les directeurs des régies financières comme Djédjé Mama directeur général du trésor, le colonel-major Alphonse Mangly directeur général des douanes ivoiriennes, Feh Kessé directeur général des impôts, se sont inscrits dans la dynamique du ministre Charles Diby Koffi. Les efforts du ministre de l’économie et des finances ont été maintes fois reconnus à travers l’admission de la Côte d’Ivoire à l’initiative PPTE et surtout le prix ………………… Ce sont ces artisans de l’économie de la Côte d’Ivoire qui vont faire gagner le président Laurent Gbagbo à la prochaine présidentielle.

Djédjé Mama directeur général du trésor et de la comptabilité publique
Madame Djédjé Mama fait partie de ces ivoiriens qui ont compris les sens du combat du président Laurent Gbagbo. C’est pourquoi cette brave dame n’a ménagé aucun effort pour insuffler un nouveau dynamisme dans la gestion du trésor de Côte d’Ivoire. Depuis sa nomination, elle a placé cette régie sous le signe de la bonne gouvernance et de la transparence absolue. De sorte que même la communauté internationale lui reconnait ces efforts là. Madame Djédjé Mama a pu satisfaire les exigences de tous ses usagers, ses partenaires au développement et son personnel. Pour ce faire, il a mis en place une véritable politique de qualité qui ne fait que octroyer des points au président Laurent Gbagbo. Ayant pris le taureau par les cornes, elle réglé avec beaucoup de dextérité l’apurement de la dette intérieure. Djédjé Mama est une dame très charismatique. Tous ceux qui avaient pensé qu’elle ne ferait pas long feu à la tête du trésor se sont trompés car aujourd’hui, elle compte parmi les meilleurs Administrateurs des Services Financiers de Côte d’Ivoire. Sa rigueur dans le traitement des dossiers, sont autant de qualités et d'atouts qui ont fini par séduire le président de la République et la communauté financière internationale. Djédjé Mama Ohoua Simone a, en si peu de temps, réussi à donner au Trésor public ivoirien, ses lettres de noblesse même si certains insatiables et jaloux continuent de trouvent toujours quelque chose à dire à son sujet. Dans tous les cas elle demeure un pilier infaillible pour la victoire de Laurent Gbagbo. Elle au moins n’a pas éclaboussé le nom du président de la République à travers des malversations courantes sous le régime des refondations.
Directeur général des douanes
Le colonel major Alphonse Mangly n’est plus à présenter aux ivoiriens. En le nommant à la tête des douanes de Côte d’Ivoire, le président Laurent Gbagbo ne s’est pas trompé. Alphonse Mangly est un bourreau du travail bien fait. Il suffit de faire un tour dans les bureaux des douanes pour s’en rendre compte. Tous témoignent de sa rigueur. Soucieux du challenge qui l’attendait après le départ du colonel major Nyamien Konan , l’actuelle directeur des douanes a retroussé ses manches pour renflouer les caisses de l’Etat pour que la Côte d’Ivoire soit débout économiquement. Aujourd’hui, l’administration des Douanes est en pleine mutation. Les initiatives la concernant émanent davantage des instances communautaires que de l’autorité nationale surtout avec les Communautés économiques régionales telles que la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine UEMOA). Par ailleurs, la fonction fiscale cède du terrain graduellement en faveur des missions économiques et de facilitation imposées par le dynamisme de ces espaces. Dès la nomination du colonel major Mangly, toutes ces réalités sont si évidentes que la Côte d’Ivoire malgré huit ans de crise demeure le pilier de l’économie de l’Afrique de la sous région. D’ailleurs qui mieux qu’Alphonse Mangly pourrait se battre au rayonnement de l’image de Laurent Gbagbo ? L’homme demeure un républicain et un grand admirateur de Laurent Gbagbo. Son amour pour la Côte d’Ivoire est indéfectible. Son amour débordant pour le président Gbagbo et pour une Côte d’Ivoire de paix lui a fait prendre la lourde responsabilité de directeur de campagne du candidat du front populaire ivoirien à Danané. En dehors de ses nombreuses charges qu’il accomplit avec brio, il prépare le terrain pour la victoire de Laurent Gbagbo. C’est pourquoi il est souvent sur les fronts sociaux. En un temps record, il a mis sur pied toute sorte de stratégie pour assainir les douanes afin de renflouer les caisses de l’Etat. Aujourd’hui, la douane demeure un véritable bouclier pour l’économie ivoirienne. Le secret du succès des douanes demeure dans la cohésion entretenue par le colonel-major Alphonse Mangly. Régulièrement, il récompense ses agents afin de leur donner le gout du travail bien fait et surtout le sens civique. Le moins qu’on puisse dire c’est que le colonel major Alphonse Mangly s’est aussi inscrit dans le dynamisme de la victoire dont le fer de lance demeure le ministre de l’économie Charles Koffi Diby. L’Argentier ivoirien est un gagneur. Il Gagne. Sa récente victoire est sa désignation comme « Ministre des Finances 2010 pour l’Afrique » par les milieux de la finance mondiale. Nommé à la tête du ministère de l’Economie et des Finances en avril 2007, soit un mois après la signature de l’Accord Politique de Ouagadougou (APO), Charles Koffi Diby avait été successivement Directeur général de la Comptabilité Publique et du Trésor, puis ministre délégué à l’Economie et aux Finances sous le Premier ministre Charles Konan Banny. Avec lui les directeurs des régies financières ont engendré « le vrai miracle ivoirien. ». Grâce à la conjugaison de leurs efforts et au prix de leur sacrifice, l’économie ivoirienne a été mise sur les rails. la Côte d’Ivoire s’est retrouvée éligible à l’initiative des Pays Pauvres Très Endettés (PPTE). Ces efforts reconnus par tous ont poussé le club de Londres, le club de paris, et bien de banques à annuler leurs dettes. Aujourd’hui la Côte d’Ivoire demeure un bon élève des Institutions financières de Bretton-Woods (FMI, Banque Mondiale, SFI). Le budget 2010 qu’il a élaboré prend en compte tous les efforts de bonne gouvernance économique grâce aux efforts conjugués des directeurs des régies financières (douanes, impôts, trésor). En tout cas, le président Laurent Gbagbo peut compter sur Charles Koffi Diby , Feh Kessé, Alphonse Mangly et Djédjé Mama pour sa victoire.

COLBERT KOUADJO

Colbert_rna@yahoo.fr