Les agents de la police universitaire continuent de broyer du noir. La promesse faite par Amédé Yéo, le directeur général adjoint (Dga) de la police universitaire, de payer les arriérés de salaire en début du mois de septembre, n’a pas été tenue.
Keita Abdoulaye, le porte-parole des grévistes et ses camarades n’ont perçu aucun centime. Et pourtant, le mercredi 27 août 2014, le Dga de la police universitaire, convoqué par les autorités policières avait promis de régler le problème salarial de ses agents.
Toute chose qui avait été saluée par les grévistes.
Mais les jours passent, et rien de concret ne pointe à l’horizon.
Pour décider de la conduite à tenir, les agents de la police universitaire ont organisé une assemblée générale, le mardi 9 septembre 2014, au sein de l’Université Nanghui Abrogoua.
Au terme de cette rencontre syndicale, ils ont décidé de poursuivre la grève, tout en assurant le service minimum.
Cette action vise à mettre la pression sur les responsables de la police universitaire afin d’obtenir gain de cause. Il est bien de noter que les agents de la police universitaire, observent, depuis le mercredi 27 août 2014, un arrêt de travail illimité pour réclamer trois (3) mois d’arriérés de salaire et la signature d’un contrat de travail avec la Société d’infrastructures modernes et de développement de Côte d’Ivoire (Simdci).
Aux dernières nouvelles, la police universitaire de Bouaké s’apprêterait à entrer dans la danse en brandissant la menace de la grève.
Elysée YAO
Keita Abdoulaye, le porte-parole des grévistes et ses camarades n’ont perçu aucun centime. Et pourtant, le mercredi 27 août 2014, le Dga de la police universitaire, convoqué par les autorités policières avait promis de régler le problème salarial de ses agents.
Toute chose qui avait été saluée par les grévistes.
Mais les jours passent, et rien de concret ne pointe à l’horizon.
Pour décider de la conduite à tenir, les agents de la police universitaire ont organisé une assemblée générale, le mardi 9 septembre 2014, au sein de l’Université Nanghui Abrogoua.
Au terme de cette rencontre syndicale, ils ont décidé de poursuivre la grève, tout en assurant le service minimum.
Cette action vise à mettre la pression sur les responsables de la police universitaire afin d’obtenir gain de cause. Il est bien de noter que les agents de la police universitaire, observent, depuis le mercredi 27 août 2014, un arrêt de travail illimité pour réclamer trois (3) mois d’arriérés de salaire et la signature d’un contrat de travail avec la Société d’infrastructures modernes et de développement de Côte d’Ivoire (Simdci).
Aux dernières nouvelles, la police universitaire de Bouaké s’apprêterait à entrer dans la danse en brandissant la menace de la grève.
Elysée YAO
