Ce sont au total 30 journalistes des organes de presse et chargés de communication des ministères de la Santé de l’espace CEDEAO qui poussent la réflexion en vue de créer un réseau de communicateurs de la CEDEAO. Sous la houlette de l’Organisation ouest africaine de la santé (OOAS), la rencontre qui se tient à Abidjan, du 24 au 25 octobre 2016, a pour objectif de permettre une meilleure visibilité des activités de cette structure.
Professeur Simplice Dagnan, Directeur général de la Santé, représentant la ministre, a salué la tenue de cette rencontre en terre ivoirienne au regard des responsabilités sociétales des spécialistes des médias et de la communication. « En tant qu’acteurs privilégiés de la mobilisation sociale, vos interventions dans le domaine de la santé sont primordiales pour soutenir les initiatives visant la promotion d’un bien-être pour nos populations », a-t-il indiqué. Les récentes épidémies notamment la maladie à virus Ebola, a-t-il ajouté, « est une illustration de votre capacité à inverser des tendances négatives avec le concours des techniciens et professionnels de la santé ». Aussi, a-t-il souhaité que les prestations multiformes des séminaristes dans le domaine de la communication renforcent une grande présence de l’OOAS dans le pays et au plan international, et aide ainsi cette institution commune à remplir efficacement ses missions au profit des états.
Dr Xavier Crespin, Directeur général de l’OOAS, pour sa part, espère que ce réseau va permettre d’améliorer les échanges en matière de santé entre les différents pays membres de la CEDEAO. La réunion de ce jour revêt une importance particulière puisqu’elle est la résultante de celle de 2015 à Ouagadougou où au nombre des différentes recommandations se trouvait la mise en place d’un réseau des communicateurs de la CEDEAO, a rappelé Dr Xavier Crespin. De ce fait, la matérialisation de cette recommandation en même temps qu’elle donnera une notoriété aux participants, est-il convaincu, sera d’un grand apport pour les pays en termes d’échanges et de circulation d’informations sur les questions de santé de la région Ouest Africaine et même bien au-delà compte tenu des technologies existantes. « A tout moment, nos différents communicateurs et professionnels des médias dans le domaine de la santé peuvent avoir les informations en tant réel et les diffuser dans les différents pays », a-t-il appuyé.
La rencontre, organisée en partenariat avec l’USAID à travers le projet CAPS, sera suivie du forum des bonnes pratiques en santé de la CEDEAO qui tiendra sa deuxième édition à Grand Bassam du 26 au 28 octobre 2016.
D.Tagro
Professeur Simplice Dagnan, Directeur général de la Santé, représentant la ministre, a salué la tenue de cette rencontre en terre ivoirienne au regard des responsabilités sociétales des spécialistes des médias et de la communication. « En tant qu’acteurs privilégiés de la mobilisation sociale, vos interventions dans le domaine de la santé sont primordiales pour soutenir les initiatives visant la promotion d’un bien-être pour nos populations », a-t-il indiqué. Les récentes épidémies notamment la maladie à virus Ebola, a-t-il ajouté, « est une illustration de votre capacité à inverser des tendances négatives avec le concours des techniciens et professionnels de la santé ». Aussi, a-t-il souhaité que les prestations multiformes des séminaristes dans le domaine de la communication renforcent une grande présence de l’OOAS dans le pays et au plan international, et aide ainsi cette institution commune à remplir efficacement ses missions au profit des états.
Dr Xavier Crespin, Directeur général de l’OOAS, pour sa part, espère que ce réseau va permettre d’améliorer les échanges en matière de santé entre les différents pays membres de la CEDEAO. La réunion de ce jour revêt une importance particulière puisqu’elle est la résultante de celle de 2015 à Ouagadougou où au nombre des différentes recommandations se trouvait la mise en place d’un réseau des communicateurs de la CEDEAO, a rappelé Dr Xavier Crespin. De ce fait, la matérialisation de cette recommandation en même temps qu’elle donnera une notoriété aux participants, est-il convaincu, sera d’un grand apport pour les pays en termes d’échanges et de circulation d’informations sur les questions de santé de la région Ouest Africaine et même bien au-delà compte tenu des technologies existantes. « A tout moment, nos différents communicateurs et professionnels des médias dans le domaine de la santé peuvent avoir les informations en tant réel et les diffuser dans les différents pays », a-t-il appuyé.
La rencontre, organisée en partenariat avec l’USAID à travers le projet CAPS, sera suivie du forum des bonnes pratiques en santé de la CEDEAO qui tiendra sa deuxième édition à Grand Bassam du 26 au 28 octobre 2016.
D.Tagro
