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Économie Publié le jeudi 8 décembre 2016 | L’intelligent d’Abidjan

Bonoua: une usine de transformation de manioc pour bientôt

© L’intelligent d’Abidjan Par DR
Secteur du vivrier: pose de la première pierre de l`usine de Yaou (Bonoua
Plusieurs personnalités administratives, politiques et coutumières ont assisté mercredi à la pose de la première pierre de l`usine de transformation de manioc de Yaou dans le Département de Bonoua. Photo: Irié Lou colette, PCA FENASCOVICI et Francesca Tirelli, PDG Africa Building
Le programme d’appui à la production vivrière et à la sécurité alimentaire (Papva-Sa) avait récemment promis de lutter contre le chômage, à travers Francesca Tirelli, responsable du groupe Africa Building. La promesse a été mise en exécution, le mercredi 7 décembre 2016. En effet, le premier coup de pioche de la construction d’une usine de transformation de manioc a été donné par Irié Lou Collette, PCA de la fédération nationale des sociétés coopératives de vivriers de Côte d’Ivoire (Fenascovici) et Francesca Tirelli à Yaou commune de Bonoua. A cette occasion, Irié Lou a fait savoir que le programme a fait un travail colossal qui va résoudre le problème de la pénurie alimentaire en Côte d’Ivoire. « Avec le programme, il y aura beaucoup de denrées sur le marché et qui seront moins chères. C’est pourquoi je demande aux jeunes de ne plus se faire tuer dans les eaux. Ne bougez plus, restez chez vous et accrochez-vous au programme dans vos villages », a-t-elle dit. Pour la réussite du programme, elle a émis le vœu de voir ses sœurs unies autour du programme. « Mme Francesca nous donne une richesse à travers le programme. Je veux une mobilisation totale autour du projet. Plus de dispersions dans nos rangs », a dit la Pca de la Fenascovici qui a révélé que le ruban de l’inauguration de l’usine se fera dans 24 mois. Une histoire de bien faire les choses : « Le premier ruban du programme est prévu pour être coupé dans 24 mois. Il ne faut pas précipiter la construction de ces usines. Tout doit être bien fait. Le matériel est de dernière génération. Le projet devra créer 3,5 millions d’emplois ».

Francesca Tirelli a dit avoir choisi la Côte d’Ivoire pour la valeur qu’elle représente dans le secteur du vivrier. Aussi, a-t-elle ajouté : « Nous avons choisi la Côte d’Ivoire grâce à Irié Lou Collette qui est un modèle en Afrique dans le vivrier. Il n’y a pas d’autres raison. Elle est une image dans la grande Côte d’Ivoire. Nous sommes les coordonnateurs du projet. Nous avons fait l’étude, la mise en place concrète et avons trouvé les bailleurs de fonds qui ont cru en la Côte d’Ivoire. Et Irié Lou qui est une garantie ». La chance, à l’en croire, n’est pas donnée par la connaissance. Mais plutôt par l’imagination. » Irié Lou est une référence en la matière. C’est un programme africain et les autres pays ont les yeux sur la Côte d’Ivoire qui n’a pas le droit d’échouer. Les fonds sont déjà disponibles. Le manioc, le riz, le maïs sont indispensables pour la sécurité alimentaire », a dit Francesca qui a soutenu que ce programme changera l’économie de la Côte d’Ivoire.

HG
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