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Art et Culture Publié le samedi 14 février 2009 | L’intelligent d’Abidjan

Hommage à Joëlle C - Bientôt, son album inédit sur le marché

Kita. La dernière œuvre musicale de l’artiste disparue, Joëlle C, n’a pas encore quitté - un an après - les esprits, magnétos et lecteurs CD des mélomanes qui apprenant, comme sidérés, le 14 février 2008, le départ de la scène de celle qu’on appelle la Princesse Akyé. Avant de sortir de la scène, Joëlle avait donné sept concerts – couleur Kita – en Côte d’Ivoire. En ce jour hommage qui est, aussi célébration « universelle » de l’Amour, des pensées vont à l’endroit de Joëlle vivante de par ses œuvres et en Koman Arnauld, son fils. Elève en classe de 3è au Collège Descartes en Zone 4 à Abidjan, Arnauld garde avec Georges Aziz, connu manager de Joëlle C, des rapports – témoigne Georges – de « père à enfant ».. Très émouvant, l’on se rappelle encore leur apparition, côte à côte, sur la tribune des Haut de Gamme, cérémonie de distinction qui a salué à travers un prix la pensée et, sans oublier, le travail de l’artiste. Georges demandait que soit versé, en valeur, à l’attention du fils Arnauld, le montant du prix.. Ses vacances ou temps libres, par moments, Arnauld les passe avec Aziz qui, lui, échange longuement avec le fils. « On discute beaucoup », a affirmé Georges qui, cependant, se dit « pas apte à décider ». Pour ce qui est, surtout, des questions relatives à l’évolution où l’encadrement de la progéniture de son artiste. Là-dessus d’ailleurs, il affiche « no comment pour des raisons personnelles ». Aussi se garde-t-il le droit d’être le centre d’une quelconque polémique pour des questions qui concernent, en principe, la famille biologique ou grande de Joëlle. Même si, selon ce qu’il dit lire dans la presse, les avis pendant et même (longtemps) après les funérailles paraissent divergents. A-t-il gardé un mauvais souvenir pendant les obsèques et funérailles de Joëlle C ? Georges Aziz veut, plutôt, que les Ivoiriens d’abord et les mélomanes ensuite gardent le souvenir de ce qu’a laissé l’artiste. Et ce qui doit être fait, c’est veiller à perpétuer les œuvres de Joëlle C. D’où le « projet » de Georges Aziz, selon lui, « de mettre sur le marché les œuvres inédites » de Joëlle. « Une grande artiste », précise-t-il, ce qu’a démontré son « talent – unanime – qui a convaincu tout le monde ». Pour ce qui est des retombées du droit d’auteur sur les créations de l’artiste Joëlle C., les ayants-droit que sont la mère – de Joëlle C – et l’enfant du disparu, sont les bénéficiaires, selon les prescriptions du Bureau Ivoirien du Droit d’Auteur.

Koné Saydoo
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