Voici le mois de Juin, mois de la pluie. Pluie salvatrice et arroseuse de la terre nourricière. Si d ans nos campagnes, cette pluie nous comble de bonheur parce que vecteur vivifiant de tout ce qui vit et permet à l’homme de vivre en lui procurant sa subsistance quotidienne. Cette même pluie, au niveau des grandes cités est la cause de malheur, voir de désastre.
Celle qui s’est abattue sur la capitale économique ivoirienne depuis deux jours, a mis à nue toutes les dérives au niveau des infrastructures. Créant ainsi des bouchons énormes au niveau de grandes artères de communication ; occasionnant ainsi des retards et des absentéismes à n’en plus finir.
Mais là où le bât blesse, c’est que quand la technique est défaillante, le bon sens veut que l’homme en prenne le relais. Dans le cas d’espèce en l’occurrence, les agents chargés de la fluidité routière. Ceux là même, qui sont si prompts à verbaliser la moindre peccadille, nous auraient mis en confiance, si l’on éprouvait le plaisir de les voir à chaque coin de rue comme on le voit sous d’autres cieux, à réguler la circulation, aidant les usagers en détresse parce que noyés dans les eaux qui ont transformé nos voies en lacs.
Hélas, bien que dotés de moyens appropriés (imperméables et autres), nous avons la nette impression qu’ils ont d’autres chatons à fouetter. J’ose pour ma part espérer que les autorités en charge de la circulation routière, en plus de l’effort qu’il déploient déjà pour notre sécurité, s’organisent un peu mieux pour une bien meilleure gestion au niveau des relais des feux tricolores constamment défaillants, au grand bonheur des usagers que nous sommes. Mais lesquels usagers ne doivent pas pour autant oublier leur devoir de citoyen en respectant le code de la route. Ce n’est qu’un vœu.
Dieu bénisse la Côte d’Ivoire.
Roland DAGHER
Conseiller Economique et Social
Celle qui s’est abattue sur la capitale économique ivoirienne depuis deux jours, a mis à nue toutes les dérives au niveau des infrastructures. Créant ainsi des bouchons énormes au niveau de grandes artères de communication ; occasionnant ainsi des retards et des absentéismes à n’en plus finir.
Mais là où le bât blesse, c’est que quand la technique est défaillante, le bon sens veut que l’homme en prenne le relais. Dans le cas d’espèce en l’occurrence, les agents chargés de la fluidité routière. Ceux là même, qui sont si prompts à verbaliser la moindre peccadille, nous auraient mis en confiance, si l’on éprouvait le plaisir de les voir à chaque coin de rue comme on le voit sous d’autres cieux, à réguler la circulation, aidant les usagers en détresse parce que noyés dans les eaux qui ont transformé nos voies en lacs.
Hélas, bien que dotés de moyens appropriés (imperméables et autres), nous avons la nette impression qu’ils ont d’autres chatons à fouetter. J’ose pour ma part espérer que les autorités en charge de la circulation routière, en plus de l’effort qu’il déploient déjà pour notre sécurité, s’organisent un peu mieux pour une bien meilleure gestion au niveau des relais des feux tricolores constamment défaillants, au grand bonheur des usagers que nous sommes. Mais lesquels usagers ne doivent pas pour autant oublier leur devoir de citoyen en respectant le code de la route. Ce n’est qu’un vœu.
Dieu bénisse la Côte d’Ivoire.
Roland DAGHER
Conseiller Economique et Social
