23e invité de la coordination des communicateurs citoyens bénévoles pour le plébiscite du Président Gbagbo, le mardi 27 avril 2010 aux Deux Plateaux, l’honorable Kouamé Sécré Richard, président du conseil général de Bondoukou a passé en revue les questions d’actualité et bien d’autres sujets.
‘’C’est Guillaume Soro qui est la personne indiquée, courageuse parce qu’il est le seul à avoir revendiqué la rébellion, avec qui nous discutons. Le Président Gbagbo et son Premier ministre tiennent le bon bout et nous allons nous en sortir. Et le fait que le Président se déplace pour aller voir les bases arrières de l’ex-rébellion est une bonne chose’’ a commenté Kouamé Sécré Richard quant à la capacité du Premier ministre à conduire le processus de paix à son terme. Ce, après avoir disséqué le thème du jour : « les fondements du soutien des peuples du Zanzan à la politique de refondation du Président Laurent Gbagbo ». Pour le député, c’est une histoire d’amour qui lie le Président Gbagbo et ces peuples qui voient en lui ‘’un sauveur’’. Cette idylle, a-t-il révélé, tient son origine des débuts du multipartisme et trouve son fondement dans trois facteurs majeurs. Et de citer : ‘’des raisons socioéconomiques, le travail de sensibilisation puis de recrutement sur le terrain et les actions de développement posées par le Président Gbagbo depuis 2000’’. Comme acquis sous l’ère Gbagbo, le directeur départemental de campagne du candidat a noté que de trois départements avant 2000, le Zanzan est passé à neuf à ce jour. Dans le même temps a-t-il poursuivi, les sous-préfectures sont passées de 16 à 30 quand le nombre de communes atteignait 50, se multipliant ainsi par 5. A en croire l’impétrant sur le même chapitre des acquis, de 6 % de couverture en électrification rurale en quarante ans d’exercice du PDCI, Bondoukou et sa région en sont aujourd’hui à une couverture d’environ 15 %. Autant de bienfaits qui suscitent selon Kouamé Sécré, beaucoup d’espoirs au sein des populations. Il en déduit que le Zanzan au regard de tout ceci, s’apprête à donner un second mandat à l’actuel locataire du palais du Plateau. Bien plus, ainsi que l’a souligné l’invité, ce mariage de raison avec cepeuple amène le Président candidat à entamer sa précampagne dans le Zanzan dans les semaines à venir. Le secrétaire national chargé du sport et des loisirs au Fpi, a également tenu à expliquer la politique de refondation que selon lui les mauvaises langues tentent de galvauder, la réduisant à un terme péjoratif. Pour Kouamé Sécré Richard, la refondation parlera d’elle-même quand seront mises en route l’assurance maladie universelle, les réformes de l’armée et les autres grands chantiers de la refondation économique et sociale de la Côte d’Ivoire. ‘’Les autres (Ndlr : l’opposition) ne font que construire leur réflexion en galvaudant la notre. Mais le mensonge érigé en système de gouvernement dans leur camp ne peut prospérer. Les immeubles qui poussent à Abidjan, les stations d’essence, les grosses cylindrées… ne sont pas le fait du Fpi. Il faut mener une enquête sérieuse et éviter d’accuser le Fpi sans preuve’’ s’est défendu l’envoyé du Fpi répondant à une question relative au mot ‘’refondateur’’ auquel l’opposition ivoirienne tente de donner une connotation péjorative.
S. Débailly
‘’C’est Guillaume Soro qui est la personne indiquée, courageuse parce qu’il est le seul à avoir revendiqué la rébellion, avec qui nous discutons. Le Président Gbagbo et son Premier ministre tiennent le bon bout et nous allons nous en sortir. Et le fait que le Président se déplace pour aller voir les bases arrières de l’ex-rébellion est une bonne chose’’ a commenté Kouamé Sécré Richard quant à la capacité du Premier ministre à conduire le processus de paix à son terme. Ce, après avoir disséqué le thème du jour : « les fondements du soutien des peuples du Zanzan à la politique de refondation du Président Laurent Gbagbo ». Pour le député, c’est une histoire d’amour qui lie le Président Gbagbo et ces peuples qui voient en lui ‘’un sauveur’’. Cette idylle, a-t-il révélé, tient son origine des débuts du multipartisme et trouve son fondement dans trois facteurs majeurs. Et de citer : ‘’des raisons socioéconomiques, le travail de sensibilisation puis de recrutement sur le terrain et les actions de développement posées par le Président Gbagbo depuis 2000’’. Comme acquis sous l’ère Gbagbo, le directeur départemental de campagne du candidat a noté que de trois départements avant 2000, le Zanzan est passé à neuf à ce jour. Dans le même temps a-t-il poursuivi, les sous-préfectures sont passées de 16 à 30 quand le nombre de communes atteignait 50, se multipliant ainsi par 5. A en croire l’impétrant sur le même chapitre des acquis, de 6 % de couverture en électrification rurale en quarante ans d’exercice du PDCI, Bondoukou et sa région en sont aujourd’hui à une couverture d’environ 15 %. Autant de bienfaits qui suscitent selon Kouamé Sécré, beaucoup d’espoirs au sein des populations. Il en déduit que le Zanzan au regard de tout ceci, s’apprête à donner un second mandat à l’actuel locataire du palais du Plateau. Bien plus, ainsi que l’a souligné l’invité, ce mariage de raison avec cepeuple amène le Président candidat à entamer sa précampagne dans le Zanzan dans les semaines à venir. Le secrétaire national chargé du sport et des loisirs au Fpi, a également tenu à expliquer la politique de refondation que selon lui les mauvaises langues tentent de galvauder, la réduisant à un terme péjoratif. Pour Kouamé Sécré Richard, la refondation parlera d’elle-même quand seront mises en route l’assurance maladie universelle, les réformes de l’armée et les autres grands chantiers de la refondation économique et sociale de la Côte d’Ivoire. ‘’Les autres (Ndlr : l’opposition) ne font que construire leur réflexion en galvaudant la notre. Mais le mensonge érigé en système de gouvernement dans leur camp ne peut prospérer. Les immeubles qui poussent à Abidjan, les stations d’essence, les grosses cylindrées… ne sont pas le fait du Fpi. Il faut mener une enquête sérieuse et éviter d’accuser le Fpi sans preuve’’ s’est défendu l’envoyé du Fpi répondant à une question relative au mot ‘’refondateur’’ auquel l’opposition ivoirienne tente de donner une connotation péjorative.
S. Débailly
