Ce n’est une découverte pour personne, le tabac est très nocif pour la santé. Mais saviez-vous que le tabac à rouler est encore plus toxique que la simple cigarette industrielle ? Nicotine, goudron, monoxyde de carbone... il bat tous les records ! A tel point que s’il était vendu sous forme de cigarettes, il serait aussitôt interdit de vente dans la majorité des pays. En raison justement de sa trop grande toxicité. Même si à première vue, un tabac à rouler blond donne l’impression de fumer une cigarette légère.
En réalité, il n’en est rien. Les fumeurs sont leurrés par l’épaisse fumée qui entoure ce tabac. Ils pensent en effet avoir à faire à un produit plus sain puisque moins industriel, justement. Grave erreur car en tirant sur une cigarette roulée, le rendement en nicotine, goudrons et monoxyde de carbone au cours de la combustion est de 3 à 6 fois supérieur à celui des cigarettes industrielles. Trois à six fois supérieur !
Pour exemple, la teneur en goudrons d’une cigarette roulée peut atteindre jusqu’à 13 à 14 milligrammes avec du papier fin. Et même jusqu’à 16 milligrammes avec du papier épais ! Bien plus que les 10 milligrammes autorisés aux produits sortis d’usine. Des concentrations impensables dans une cigarette industrielle, car soumise à une série de contrôles drastiques. Et manifestement, en matière de contrôle, le tabac à rouler n’est pas logé à la même enseigne.
www.destinationsante.com
En réalité, il n’en est rien. Les fumeurs sont leurrés par l’épaisse fumée qui entoure ce tabac. Ils pensent en effet avoir à faire à un produit plus sain puisque moins industriel, justement. Grave erreur car en tirant sur une cigarette roulée, le rendement en nicotine, goudrons et monoxyde de carbone au cours de la combustion est de 3 à 6 fois supérieur à celui des cigarettes industrielles. Trois à six fois supérieur !
Pour exemple, la teneur en goudrons d’une cigarette roulée peut atteindre jusqu’à 13 à 14 milligrammes avec du papier fin. Et même jusqu’à 16 milligrammes avec du papier épais ! Bien plus que les 10 milligrammes autorisés aux produits sortis d’usine. Des concentrations impensables dans une cigarette industrielle, car soumise à une série de contrôles drastiques. Et manifestement, en matière de contrôle, le tabac à rouler n’est pas logé à la même enseigne.
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