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Politique Publié le lundi 10 janvier 2011 | Le Patriote

Motus - Fantasmes

Alassane Ouattara est le nouveau président de la République de Côte d’Ivoire. Le 28 novembre dernier, lors du second tour de la présidentielle, il a étalé l’ancien Chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, qui n’a vu que du feu avec ses sondages grossiers et inopérants. A regarder le parcours du Dr Alassane Ouattara, on constate aisément qu’il a déjoué toutes les proclamations du chef de file de la refondation. Avant la présidentielle de 2000, Gbagbo est monté au créneau pour dire qu’ADO n’était pas ivoirien donc inapte à briguer la Magistrature Suprême. Avec la complicité du Général Robert Guéi, il a invalidé sa candidature. En 2001, le même historien a dit que Ouattara ne sera rien en Côte d’Ivoire, ainsi que tous ceux qui le suivent. Le patron des républicains a continué de compter dans le microcosme ivoirien. Mieux, il était à la tête de la première force politique de la Côte d’Ivoire. Quelques années plus tard, le même homme et ses partisans ont occupé en permanence le petit écran, pour dire qu’ADO ne sera jamais candidat dans ce pays. Quand, après une lutte âpre et tenace contre l’injustice, l’arbitraire et la diabolisation, Ouattara a été rétabli dans ses droits de citoyen à part entière, les frontistes n’ont pas désarmé dans leur vaine lutte insensée. Ils sont venus nous dire que l’unique Premier ministre de Félix Houphouët Boigny a beau être candidat, il ne sera jamais président de la République de Côte d’Ivoire. Pour se donner de la contenance, nos amis dits socialistes ont tenu toutes sortes de professions de foi, aussi loufoques les unes que les autres. La Présidentielle est arrivée le 28 novembre dernier et Alassane Ouattara a étalé le chef des refondateurs. Depuis, c’est le refus de quitter le pouvoir que Gbagbo et ses courtisans servent piteusement aux Ivoiriens et au monde entier. A la vérité, ils avaient transposé leurs subjectivités blessées sur les Ivoiriens alors que nos populations qui ont le dernier mot, savaient pertinemment qui, de Ouattara et de Gbagbo, était à même de répondre à leurs aspirations. C’est pourquoi la grande majorité de nos concitoyens a porté son adhésion sur l’ancien DGA du FMI, pour montrer clairement aux refondateurs que le peuple sait toujours opérer les choix qui engagent son destin. Gbagbo n’a eu que ses yeux pour pleurer.
Alassane Ouattara est le nouveau président de la République de Côte d’Ivoire. Le 28 novembre dernier, lors du second tour de la présidentielle, il a étalé l’ancien Chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, qui n’a vu que du feu avec ses sondages grossiers et inopérants. A regarder le parcours du Dr Alassane Ouattara, on constate aisément qu’il a déjoué toutes les proclamations du chef de file de la refondation. Avant la présidentielle de 2000, Gbagbo est monté au créneau pour dire qu’ADO n’était pas ivoirien donc inapte à briguer la Magistrature Suprême. Avec la complicité du Général Robert Guéi, il a invalidé sa candidature. En 2001, le même historien a dit que Ouattara ne sera rien en Côte d’Ivoire, ainsi que tous ceux qui le suivent. Le patron des républicains a continué de compter dans le microcosme ivoirien. Mieux, il était à la tête de la première force politique de la Côte d’Ivoire. Quelques années plus tard, le même homme et ses partisans ont occupé en permanence le petit écran, pour dire qu’ADO ne sera jamais candidat dans ce pays. Quand, après une lutte âpre et tenace contre l’injustice, l’arbitraire et la diabolisation, Ouattara a été rétabli dans ses droits de citoyen à part entière, les frontistes n’ont pas désarmé dans leur vaine lutte insensée. Ils sont venus nous dire que l’unique Premier ministre de Félix Houphouët Boigny a beau être candidat, il ne sera jamais président de la République de Côte d’Ivoire. Pour se donner de la contenance, nos amis dits socialistes ont tenu toutes sortes de professions de foi, aussi loufoques les unes que les autres. La Présidentielle est arrivée le 28 novembre dernier et Alassane Ouattara a étalé le chef des refondateurs. Depuis, c’est le refus de quitter le pouvoir que Gbagbo et ses courtisans servent piteusement aux Ivoiriens et au monde entier. A la vérité, ils avaient transposé leurs subjectivités blessées sur les Ivoiriens alors que nos populations qui ont le dernier mot, savaient pertinemment qui, de Ouattara et de Gbagbo, était à même de répondre à leurs aspirations. C’est pourquoi la grande majorité de nos concitoyens a porté son adhésion sur l’ancien DGA du FMI, pour montrer clairement aux refondateurs que le peuple sait toujours opérer les choix qui engagent son destin. Gbagbo n’a eu que ses yeux pour pleurer.
Bakary Nimaga

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