Un cas unique dans le monde et qui fera date dans les annales de l’histoire qui sera enseignée aux générations futures. Dans le même temps, il va falloir un psychologue pour expliquer l’entêtement monstrueux de Ouattara à commander le peuple ivoirien contre son gré. En tout cas, le président du Rdr est l’exemple type de l’assoiffé du pouvoir, prêt à toutes les compromissions, à tous les crimes rien que pour le pouvoir. En tout cas, l’irruption de Ouattara sur la scène politique ivoirienne a été dramatique à la Côte d’Ivoire. Et selon les confidences d’un député burkinabé «la Côte d’Ivoire a eu tort de l’avoir eu comme Premier ministre». Evidemment, Houphouët-Boigny doit certainement se retourner dans sa tombe. Etant entendu qu’il laisse à la Côte d’Ivoire, un véritable monstre qui continue de la détruire dans toutes ses composantes. D’abord, il a commencé par déstructurer la société ivoirienne dans son unité en montant les ethnies et les religions les unes contre les autres. On se rappelle bien sa phrase monstrueuse prononcée à Paris lors d’une conférence en 1999, lorsqu’il fuyait le régime Bédié qui le traquait. «On ne veut pas que je sois candidat, parce que je suis musulman et du Nord». Ouattara annonçait déjà sans-gêne, sans le moindre remords, la Côte d’Ivoire telle qu’il la voudrait si ce n’est pas lui qui est au pouvoir. Il glissait ainsi sur le terrain religieux et ethnique. Il est de ce fait le premier homme politique à le faire. Le régime Bédié limoge un cadre du Nord, au Rdr, la chanson entonnée est sans équivoque. «Bédié organise la chasse des Nordistes». Préparant ainsi les militants de ce parti qui se recrutent principalement dans le Nord à se braquer contre les partisans de Bédié. En 2000, lorsque Gbagbo arrive au pouvoir, Ouattara met à exécution une funeste idée. Des corps humains sont entassés derrière la Maca, rien que pour accabler son régime. Avant même les résultats d’une enquête et l’autopsie des corps, le Rdr court dans les médias étrangers, tout principalement sur Rfi pour dire que Gbagbo a tué des musulmans nordistes. La suite est connue de tous… Ouattara savait bien ce qu’il faisait. Il ne faisait pas de la politique, mais il entendait par tous les moyens, diriger la Côte d’Ivoire. En 2001, lors d’une tournée dans le Nord, il annonce la guerre civile à cause d’une question de papier. Rien que pour un certificat de nationalité. «Si on ne me donne pas mes papiers, je vais mélanger ce pays». Lâche-t-il à cette occasion. Le peuple ivoirien s’en trouve offusqué. Mais ce n’est pas son problème. Le régime Gbagbo n’est pas «Ouattaraphobe» comme Bédié. Alassane reçoit donc ses papiers. N’empêche, en septembre 2002, il attaque la Côte d’Ivoire avec son lot d’horreur. Le Nord qu’il prétend défendre subit un lourd tribut. Tout y est simplement déstructuré, détruit. Plusieurs générations des jeunes de cette région voient ainsi leur avenir hypothéqué à cause des ambitions démesurées d’un homme. Par exemple, tout le système éducatif y a été complètement détruit. Tout comme le système sanitaire Pourtant, Soro et sa bande se faisaient défenseurs du Nord. L’Ouest a aussi connu un génocide au nom de Ouattara. Des villages entiers ont été rayés de la carte là-bas. Au point que tout est presque à reconstruire aujourd’hui, dans cette région. Et voilà que la Côte d’Ivoire commence à panser ses blessures, que Ouattara remue encore le couteau dans la plaie. En menaçant ouvertement avec le soutien de la France, l’Etat de Côte d’Ivoire. Sur la scène politique, c’est le seul homme politique qui ne jure que par la violence pour résoudre ses problèmes. Alassane veut faire venir des mercenaires sud-africains pour déclarer la guerre à la Côte d’Ivoire. Ce qu’un Ivoirien, un vrai ne ferait pas. Même pour le pouvoir. Parce que la violence n’est pas dans la culture des Ivoiriens.
Guehi Brence
Guehi Brence
