L’annonce a été faite mardi, dans les locaux de l’ambassade ivoirienne au Mali par le président de la Fédération nationale des mouvements de jeunesse en action du Pdci (Parti démocratique de Côte d’Ivoire, dirigé par Bédié aujourd’hui, allié de Ouattara).
En marge d’une tournée qu’il a entreprise pour dit-il «certifier que Laurent Gbagbo est le président de la Côte d’Ivoire», Ulrich Eké a révélé à la presse, la préparation d’une grande rencontre des jeunes de son parti au Stade Fhb (Félix Houphouét-Boigny) d’Abidjan pour soutenir le pouvoir légalement constitué du président Laurent Gbagbo.
Pour lui et ses amis, «il ne s’agit plus d’une question de Fpi, du Pdci, de jeunes patriotes, mais de la Côte d’Ivoire» qu’il faut défendre contre l’impérialiste. Abondant dans le même sens, l’ambassadeur de Côte d’Ivoire près le Mali a tenu à éclairer l’assistance sur «le vrai problème» en Côte d’Ivoire.
La crise ivoirienne est, au dire du diplomate, due à «la volonté de l’Occident d’imposer un président de son choix pour voler nos richesses». Et l’ambassadeur Ahipeaud Guébo Noël Emmanuel de prévenir sur le risque de voir le Mali en «être confronté en 2012» à l’occasion de la prochaine présidentielle.
Plusieurs pays occidentaux notamment la France refusent de reconnaître le gouvernement légalement constitué du président élu Laurent Gbagbo à l’issue du scrutin du 28 novembre 2010. Se fondant sur les résultats précipitamment certifiés par Yung-Ji Choi, patron de l’Onuci (Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire) alors que le Conseil constitutionnel, organe juridictionnel chargé de prononcer les résultats définitifs, n’avait pas encore donné son verdict, ils tentent d’imposer Alassane Ouattara. Le président Laurent Gbagbo reste le détenteur effectif et exclusif du pouvoir, la majeure partie de la population, l’armée, l’administration et toutes les Institutions du pays l’ayant reconnu.
Direct Scoop.net
En marge d’une tournée qu’il a entreprise pour dit-il «certifier que Laurent Gbagbo est le président de la Côte d’Ivoire», Ulrich Eké a révélé à la presse, la préparation d’une grande rencontre des jeunes de son parti au Stade Fhb (Félix Houphouét-Boigny) d’Abidjan pour soutenir le pouvoir légalement constitué du président Laurent Gbagbo.
Pour lui et ses amis, «il ne s’agit plus d’une question de Fpi, du Pdci, de jeunes patriotes, mais de la Côte d’Ivoire» qu’il faut défendre contre l’impérialiste. Abondant dans le même sens, l’ambassadeur de Côte d’Ivoire près le Mali a tenu à éclairer l’assistance sur «le vrai problème» en Côte d’Ivoire.
La crise ivoirienne est, au dire du diplomate, due à «la volonté de l’Occident d’imposer un président de son choix pour voler nos richesses». Et l’ambassadeur Ahipeaud Guébo Noël Emmanuel de prévenir sur le risque de voir le Mali en «être confronté en 2012» à l’occasion de la prochaine présidentielle.
Plusieurs pays occidentaux notamment la France refusent de reconnaître le gouvernement légalement constitué du président élu Laurent Gbagbo à l’issue du scrutin du 28 novembre 2010. Se fondant sur les résultats précipitamment certifiés par Yung-Ji Choi, patron de l’Onuci (Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire) alors que le Conseil constitutionnel, organe juridictionnel chargé de prononcer les résultats définitifs, n’avait pas encore donné son verdict, ils tentent d’imposer Alassane Ouattara. Le président Laurent Gbagbo reste le détenteur effectif et exclusif du pouvoir, la majeure partie de la population, l’armée, l’administration et toutes les Institutions du pays l’ayant reconnu.
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