Le célèbre chorégraphe ivoirien, Georges Momboye,
a été reçu, hier vendredi 10 juin 2011 par le ministre
de la Culture et de la Francophonie. Au cours de cet
entretien, qui n’a duré qu’une trentaine de minutes,
le ministre Maurice Bandama a promu Georges
Momboye, directeur du Ballet national Louis Aquin de
Côte d’Ivoire. Au sortir de cette audience, le nouveau
directeur a fait une déclaration à la presse. Morceaux
choisis.
«J’ai l’impression que les choses sont à leur place. C’est-
à-dire que le ministre de la Culture et de la
Francophonie qui a été nommé, a une vision de la
culture assez large. J’en suis très fier. Parce qu’en étant
à l’étranger, c’est toujours ma bataille de vouloir
vendre la Côte d’Ivoire. Cette fois-ci, me voici du coup
à la tête d’un plateau aussi riche qui est le Ballet
national Louis Aquin de Côte d’Ivoire. Que je vais
pouvoir vendre avec toutes mes relations en Europe. Je
ferai tout pour que ce Ballet soit à la hauteur et qu’il
soit au rendez-vous des arts. Le Ballet national est une
continuité. Je vais vraiment tenir compte de ce qui a
été déjà fait. Un travail merveilleux a été déjà abattu. Il
faut maintenant que le travail continue, sinon encore
plus haut. J’ai toujours voulu me positionner comme
un ambassadeur itinérant de la culture ivoirienne.
Donc, ça tombe bien ! Oui ! C’est aussi une
reconnaissance. Je n’ai pas de mot. Je suis très ému. Je
suis très touché parce que je ne m’y attendais pas du
tout ! C’est une reconnaissance et ça me va tout droit
au cœur. J’espère ne pas décevoir le Président de la
République, le ministre de la Culture et de la
Francophonie, tout le gouvernement et les Ivoiriens. Je
dirais à mes frères chorégraphes que c’est maintenant
que les choses vont commencer. Les choses ont été
arrêtées à un moment donné et elles vont repartir sur
de nouvelles bases, avec beaucoup de sérieux. On n’a
plus droit à l’erreur ».
Propos recueillis par K.P.
a été reçu, hier vendredi 10 juin 2011 par le ministre
de la Culture et de la Francophonie. Au cours de cet
entretien, qui n’a duré qu’une trentaine de minutes,
le ministre Maurice Bandama a promu Georges
Momboye, directeur du Ballet national Louis Aquin de
Côte d’Ivoire. Au sortir de cette audience, le nouveau
directeur a fait une déclaration à la presse. Morceaux
choisis.
«J’ai l’impression que les choses sont à leur place. C’est-
à-dire que le ministre de la Culture et de la
Francophonie qui a été nommé, a une vision de la
culture assez large. J’en suis très fier. Parce qu’en étant
à l’étranger, c’est toujours ma bataille de vouloir
vendre la Côte d’Ivoire. Cette fois-ci, me voici du coup
à la tête d’un plateau aussi riche qui est le Ballet
national Louis Aquin de Côte d’Ivoire. Que je vais
pouvoir vendre avec toutes mes relations en Europe. Je
ferai tout pour que ce Ballet soit à la hauteur et qu’il
soit au rendez-vous des arts. Le Ballet national est une
continuité. Je vais vraiment tenir compte de ce qui a
été déjà fait. Un travail merveilleux a été déjà abattu. Il
faut maintenant que le travail continue, sinon encore
plus haut. J’ai toujours voulu me positionner comme
un ambassadeur itinérant de la culture ivoirienne.
Donc, ça tombe bien ! Oui ! C’est aussi une
reconnaissance. Je n’ai pas de mot. Je suis très ému. Je
suis très touché parce que je ne m’y attendais pas du
tout ! C’est une reconnaissance et ça me va tout droit
au cœur. J’espère ne pas décevoir le Président de la
République, le ministre de la Culture et de la
Francophonie, tout le gouvernement et les Ivoiriens. Je
dirais à mes frères chorégraphes que c’est maintenant
que les choses vont commencer. Les choses ont été
arrêtées à un moment donné et elles vont repartir sur
de nouvelles bases, avec beaucoup de sérieux. On n’a
plus droit à l’erreur ».
Propos recueillis par K.P.
