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Politique Publié le mercredi 21 septembre 2011 | Le Patriote

Motus : Ouverture

© Le Patriote
Le President Alassane Ouattara sur le plateau de TF1 lors de son interview du 13 septembre
Le Président Alassane Ouattara est aux Etats Unis où il prend une part active à l’Assemblée Générale des Nations Unies. Après la France où il a participé à la cérémonie de remise du Prix Félix Houphouët Boigny pour la Recherche de la Paix, il met le cap sur le pays de l’Oncle Sam. Depuis cinq mois, il est à la tache, sans relâche, pour le bonheur de ses concitoyens. Dans la droite ligne de son engagement de mettre son expérience nationale et internationale au service de son peuple. On l’aura remarqué, sous sa gouvernance, la Côte d’Ivoire bouge et a pris sa place dans le concert des nations. De même que Ouattara est reçu à l’étranger, de même il reçoit des personnalités de grande frappe chez lui. La rupture est de taille avec l’ancien régime qui aimait la jouissance et l’aisance. Pendant dix ans, le grand chef de la refondation est resté à la périphérie de la planète. On n’a pas vu grand monde en Côte d’Ivoire. Alors que Ouattara rencontre Obama, Sarkozy, Merkel, Lula et ses pairs africains, Laurent Gbagbo, lui, se contente des Guy Labertit, Didier Julia, Jack Lang, avec qui il est allé danser à la rue Princesse de Yopougon à coût de millions, alors que le sous quartier abritant cette place, baigne dans « nuscurité » et broie continuellement du noir. Autant Ouattara est l’homme de l’ouverture, autant Gbagbo se plaisait à se recroqueviller sur lui-même et à enfermer son pays dans une autarcie suicidaire. En cinq mois seulement, la Côte d’Ivoire a retrouvé un rayonnement certain sur l’échiquier international. Si Ouattara est fréquentable, tel n’était pas le cas pour son prédécesseur, que ses amis socialistes qualifiaient d’ « infréquentable », tant il avait le commerce difficile avec ses semblables. Visiblement, cet homme ne pouvait que conduire son pays au chaos. Il était incapable d’anticiper sur les préoccupations des populations, parce qu’il n’avait aucune vision. Il gouvernait le pays, au jour le jour. Normal, il était le problème et ne pouvait donc pas avoir de solutions aux soucis de ses compatriotes. Sans aucun doute, l’avènement de Ouattara marque la fin d’un cycle d’amateurisme, de belligérance et d’un « vendredisme » vécu comme une qualité sous le FPI
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