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Art et Culture Publié le samedi 24 septembre 2011 | L’intelligent d’Abidjan

Révélations sur des ‘’micmacs’’ au ministère de la Culture et de la Francophonie

© L’intelligent d’Abidjan Par Serges T
Culture : Maurice Bandama reçoit l`ambassadeur de Chine.
Maurice Bandama, ministre de la Culture et de la Francophonie a accordé une audience le jeudi 07 juillet à l`ambassadeur de Chine près la Côte d`Ivoire.
Face à la presse hier vendredi au Queens sis aux II Plateaux Les Vallons, Ahmed Souaney (représentant les interprètes au sein du conseil) accompagné de Arentess de Bonali (œuvre cinématographique), Tantie Oussou, Miss Kouadio et des artistes, a commenté les récentes décisions du ministre de la Culture et de Francophonie. Dans la forme, il dénonce le fait que le conseil ait été suspendu par communiqué de presse alors que cela devrait être par décret. Dans le fond, il s’est insurgé contre l’imposition au ministre d’un directeur (Assiélou). Selon lui, la lettre du 9 septembre adressée à Maurice Bandaman par le conseil d’administration n’était qu’une «proposition». «Nullement nous n’avons voulu imposer à monsieur le Président de la République et au ministre un directeur général», a-t-il dit. Et de qualifier la nomination de Viera d’illégale. Cependant, s’il soutient qu’il y ait un audit, il souhaite qu’il prenne en compte non seulement leur mandat mais, ceux de Sess, Viera, Obou Armand. « Il ne s’agit pas de faire un audit ciblé. Il ne faut pas faire un audit dans le sens d’accabler des gens par erreur, pour des fautes qu’ils n’auraient pas commises», a-t-il admis. Interpellant ses collègues artistes sur des «micmacs» qui se font, Souaney révèle que «le ministère de la Culture est en train de changer les textes du Burida». A propos des changements qui se feront ou pourrait se faire, il révèle : le conseil d’administration sera remplacé par un comité de gestion où aucun artiste ne siégera ; le DG sera nommé par le ministère ; la copie privée sera logée au ministère tout comme le fonds sur la parafiscalité ; le changement du collège des éditeurs de presse, celui des architectes, etc. «On nous distraie parce que le problème est ailleurs. Demain, ce sont les 6000 sociétaires qui ne verront plus un rond», a-t-il relevé.
Koné Saydoo
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