A l’occasion de sa première réunion post crise, le comité de gestion du Fonds ivoirien pour le développement de l’entreprise nationale (Fiden) a symboliquement décaissé l’importante somme de 27 millions Fcfa pour permettre la relance des activités d’une petite et moyenne industrie le jeudi 10 novembre dernier dans ses locaux aux II-Plateaux.
Les locaux du Fonds ivoirien pour le développement de l’entreprise nationale ont servi de cadre, le jeudi 10 novembre dernier, à la remise symbolique d’un chèque d’une valeur de 27 millions Fcfa à un promoteur industriel du nom de Brami. C’était à l’occasion de la première réunion du comité de gestion du Fiden présidée par Sidiki Konaté, ministre de l’Artisanat et de la promotion des Pme. Ce décaissement s’inscrit dans le cadre de la volonté du gouvernement d’appuyer financièrement et de promouvoir les entreprises nationales. Cette importante somme permettra au bénéficiaire, de relancer les activités de son huilerie, durement éprouvée par la crise postélectorale.
Tout comme ce bénéficiaire, plusieurs autres porteurs de projets recevront des chèques dans le même sens. Créé le 20 janvier 1999 par décret n°99-52 de la même date, le Fiden a pour principal objectif de d’intervenir dans le secteur industriel avec un accent particulier sur la transformation des matières premières locales, l’hôtellerie, les bâtiments et travaux publics ainsi que les prestations de service. Les prêts du Fiden peuvent être acquis pour la réalisation d’opérations telles, la création d’entreprises, l’extension des activités existantes, la modernisation ou la réhabilitation des entreprises ainsi que le rachat d’entreprises par des nationaux.
Toute petite et moyenne est éligible aux concours du Fiden sous réserve des conditions d’entreprises individuelles ou de sociétés. Le montant des prêts octroyés par le Fonds ivoirien pour le développement de l’entreprise nationale est plafonné 100 millions Fcfa par requête. Les taux d’intérêt varient de 8% pour les prêts destinés aux besoins d’investissement et d’équipement, remboursables sur 5 ans maximum dont un différé de 6 mois et 10% pour les prêts destinés aux besoins en fonds de roulement, remboursables sur deux ans maximum dont un différé de 3 mois.
Idrissa Konaté
Les locaux du Fonds ivoirien pour le développement de l’entreprise nationale ont servi de cadre, le jeudi 10 novembre dernier, à la remise symbolique d’un chèque d’une valeur de 27 millions Fcfa à un promoteur industriel du nom de Brami. C’était à l’occasion de la première réunion du comité de gestion du Fiden présidée par Sidiki Konaté, ministre de l’Artisanat et de la promotion des Pme. Ce décaissement s’inscrit dans le cadre de la volonté du gouvernement d’appuyer financièrement et de promouvoir les entreprises nationales. Cette importante somme permettra au bénéficiaire, de relancer les activités de son huilerie, durement éprouvée par la crise postélectorale.
Tout comme ce bénéficiaire, plusieurs autres porteurs de projets recevront des chèques dans le même sens. Créé le 20 janvier 1999 par décret n°99-52 de la même date, le Fiden a pour principal objectif de d’intervenir dans le secteur industriel avec un accent particulier sur la transformation des matières premières locales, l’hôtellerie, les bâtiments et travaux publics ainsi que les prestations de service. Les prêts du Fiden peuvent être acquis pour la réalisation d’opérations telles, la création d’entreprises, l’extension des activités existantes, la modernisation ou la réhabilitation des entreprises ainsi que le rachat d’entreprises par des nationaux.
Toute petite et moyenne est éligible aux concours du Fiden sous réserve des conditions d’entreprises individuelles ou de sociétés. Le montant des prêts octroyés par le Fonds ivoirien pour le développement de l’entreprise nationale est plafonné 100 millions Fcfa par requête. Les taux d’intérêt varient de 8% pour les prêts destinés aux besoins d’investissement et d’équipement, remboursables sur 5 ans maximum dont un différé de 6 mois et 10% pour les prêts destinés aux besoins en fonds de roulement, remboursables sur deux ans maximum dont un différé de 3 mois.
Idrissa Konaté