ABIDJAN - Le secrétaire général du ministère ivoirien des Affaires étrangères Claude Béké a réaffirmé vendredi à Grand-Bassam (sud, 30 kms d'Abidjan) la volonté de la Côte d'Ivoire de lutter contre la prolifération et la circulation des armes légères dans le pays.
Selon M. Béké qui procédait à la clôture d'un atelier d'élaboration du plan d'actions de la Commission nationale de lutte contre la prolifération et la circulation illicite des armes légères et de petit calibre (COMNAT-ALPC), les autorités ivoiriennes sont habitées par la volonté de restituer l'état de droit ainsi que la sécurité des personnes et des biens.
"Le gouvernement s'engage à accompagner la Commission dans ce long processus visant à réduire de façon considérable la menace de ces armes sur le sol ivoirien", a-t-il énoncé, se réjouissant de l'appui des partenaires sous-régionaux et internationaux.
Pour le président de la COMNAT-ALPC le général Désiré Adjoussou, les acteurs doivent faire preuve de plus de synergies d'actions dans leur combat contre le fléau qui menace la stabilité de la Côte d'Ivoire.
"Aucune initiative de développement ne peut prospérer dans l'insécurité, et aucune paix n'est durable lorsque les armes se trouvent dans tous les coins de rue, entre les mains des civils", a relevé le général Adjoussou.
De l'avis de celui-ci, cette lutte nécessite une approche intégrée, concertée et coordonnée pour être efficace.
A l'issue de l'atelier de Grand-Bassam qui a duré trois jours, les participants ont validé les résultats de l'enquête nationale sur les armes légères et de petit calibre, et adopté le plan d'actions national 2012-2014 de lutte contre la prolifération et la circulation illicite de ces armes.
La crise militaro-politique qu'a connue la Côte d'Ivoire a favorisé la prolifération des armes. Pour freiner la montée de ce fléau, le gouvernement ivoirien a mis sur pied le 30 avril 2009 une Commission nationale chargée de la lutte contre la circulation massive des armes légères.
Selon M. Béké qui procédait à la clôture d'un atelier d'élaboration du plan d'actions de la Commission nationale de lutte contre la prolifération et la circulation illicite des armes légères et de petit calibre (COMNAT-ALPC), les autorités ivoiriennes sont habitées par la volonté de restituer l'état de droit ainsi que la sécurité des personnes et des biens.
"Le gouvernement s'engage à accompagner la Commission dans ce long processus visant à réduire de façon considérable la menace de ces armes sur le sol ivoirien", a-t-il énoncé, se réjouissant de l'appui des partenaires sous-régionaux et internationaux.
Pour le président de la COMNAT-ALPC le général Désiré Adjoussou, les acteurs doivent faire preuve de plus de synergies d'actions dans leur combat contre le fléau qui menace la stabilité de la Côte d'Ivoire.
"Aucune initiative de développement ne peut prospérer dans l'insécurité, et aucune paix n'est durable lorsque les armes se trouvent dans tous les coins de rue, entre les mains des civils", a relevé le général Adjoussou.
De l'avis de celui-ci, cette lutte nécessite une approche intégrée, concertée et coordonnée pour être efficace.
A l'issue de l'atelier de Grand-Bassam qui a duré trois jours, les participants ont validé les résultats de l'enquête nationale sur les armes légères et de petit calibre, et adopté le plan d'actions national 2012-2014 de lutte contre la prolifération et la circulation illicite de ces armes.
La crise militaro-politique qu'a connue la Côte d'Ivoire a favorisé la prolifération des armes. Pour freiner la montée de ce fléau, le gouvernement ivoirien a mis sur pied le 30 avril 2009 une Commission nationale chargée de la lutte contre la circulation massive des armes légères.