La nouvelle est tombée hier, rafraîchissant l’atmosphère. Les Eléphants passeront par Beyrouth avant de rejoindre directement Malabo.
Au-delà de la symbolique de ce premier match de l’histoire entre les deux sélections libanaise et ivoirienne, il y a la charge émotionnelle et spirituelle de l’évènement. Sur le plan émotionnel, les Eléphants ne seront pas en terre étrangère à Beyrouth. Pour le peuple libanais, c’est une occasion en or de venir exprimer son amour et son attachement aux Eléphants venant de cette Côte d’Ivoire devenue mère patrie, et terre d’hospitalité pour des dizaines de milliers de Libanais.
Après le match de 90 minutes très attendu, face à une sélection libanaise retrouvée et qualifiée pour le second tour des éliminatoires coupe du monde zone Asie, le public libanais aura à cœur de « bénir » ses idoles Eléphants, ses favoris pour la Can 2012. Les Libanais veulent de tout cœur que l’histoire retienne que c’est par Beyrouth que les Ivoiriens sont passés pour aller jusqu’au bout …
Sur le plan technique
La sélection libanaise s’annonce comme un très bon sparring-partner pour les Ivoiriens. Elle a battu, avec cran et brio, les Sud-Coréens par 2 buts à 1, le 15 novembre dernier, au Stade de la cité sportive « Camille Chamoun » de Beyrouth, devant près de 50 000 spectateurs en liesse. De plus, le style n’est pas très éloigné de celui des Faucons de Khartoum que les coéquipiers de Didier Drogba doivent retrouver cinq jours plus tard, soit le 22 janvier 2012 au Stade de Malabo. Quelle option choisira François Zahoui ? Faire tourner son effectif ou aligner son équipe type de «départ CAN » ? Il est encore trop tôt pour le savoir. Nous lui soufflerons néanmoins de bien cacher son jeu, car l’un des adjoints du sélectionneur allemand Theo Bücker est …Soudanais ! Et il se fera un « devoir » de transmettre un rapport tout frais à son compatriote Abdallah Ahmed Mohamed.
A noter un autre avantage « logistique » de ce dernier match test à Beyrouth. Venant des Emirats arabes unis, la délégation ivoirienne se rapproche ainsi géographiquement de l’Afrique. Nous reviendrons sur cette dernière étape de la préparation ivoirienne qui deviendra la grande actualité du moment.
Nasser El Fadel, correspondant permanent à Beyrouth.
Au-delà de la symbolique de ce premier match de l’histoire entre les deux sélections libanaise et ivoirienne, il y a la charge émotionnelle et spirituelle de l’évènement. Sur le plan émotionnel, les Eléphants ne seront pas en terre étrangère à Beyrouth. Pour le peuple libanais, c’est une occasion en or de venir exprimer son amour et son attachement aux Eléphants venant de cette Côte d’Ivoire devenue mère patrie, et terre d’hospitalité pour des dizaines de milliers de Libanais.
Après le match de 90 minutes très attendu, face à une sélection libanaise retrouvée et qualifiée pour le second tour des éliminatoires coupe du monde zone Asie, le public libanais aura à cœur de « bénir » ses idoles Eléphants, ses favoris pour la Can 2012. Les Libanais veulent de tout cœur que l’histoire retienne que c’est par Beyrouth que les Ivoiriens sont passés pour aller jusqu’au bout …
Sur le plan technique
La sélection libanaise s’annonce comme un très bon sparring-partner pour les Ivoiriens. Elle a battu, avec cran et brio, les Sud-Coréens par 2 buts à 1, le 15 novembre dernier, au Stade de la cité sportive « Camille Chamoun » de Beyrouth, devant près de 50 000 spectateurs en liesse. De plus, le style n’est pas très éloigné de celui des Faucons de Khartoum que les coéquipiers de Didier Drogba doivent retrouver cinq jours plus tard, soit le 22 janvier 2012 au Stade de Malabo. Quelle option choisira François Zahoui ? Faire tourner son effectif ou aligner son équipe type de «départ CAN » ? Il est encore trop tôt pour le savoir. Nous lui soufflerons néanmoins de bien cacher son jeu, car l’un des adjoints du sélectionneur allemand Theo Bücker est …Soudanais ! Et il se fera un « devoir » de transmettre un rapport tout frais à son compatriote Abdallah Ahmed Mohamed.
A noter un autre avantage « logistique » de ce dernier match test à Beyrouth. Venant des Emirats arabes unis, la délégation ivoirienne se rapproche ainsi géographiquement de l’Afrique. Nous reviendrons sur cette dernière étape de la préparation ivoirienne qui deviendra la grande actualité du moment.
Nasser El Fadel, correspondant permanent à Beyrouth.
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