Abidjan - Une réunion de coordination de l’action humanitaire, regroupant des cadres de 17 ministères et des acteurs humanitaires, s’est tenue, vendredi, à Abidjan, en vue d`analyser la situation des personnes déplacées de guerre en Côte d’Ivoire.
Les participants à cette rencontre initiée par ministre ivoirien de l’emploi, des affaires sociales et de la solidarité, se sont imprégnés "des actions déjà menées et qui restent à mener" en faveurs des déoplacés.
Saluant l’appui des acteurs humanitaires, le ministre de l’emploi, des affaires sociales et de la solidarité, Gilbert Koné Kafana, a affirmé que l’engagement de ceux-ci, aux côtés de la Côte d’Ivoire, permet, depuis quelques mois, d’assister à "un retour massif des déplacés dans leurs localités d`origine, surtout dans la région de l’ouest" du pays.
M. Kafana Koné a aussi indiqué que 8.000 personnes vivent enciore dans les camps de déoplacés, dont 5.000 à Abidjan. Selon lui, il faut faire en sorte que ces personnes retrouvent leur famille, le gouvernement ivoirien souhaitant "que ces sites soient fermés le tôt possible sans désagrément pour les personnes qui y vivent".
Le chef de bureau OCHA bureau de coordination des affaires humanitaires, Max Hadorn, qui a également pris part à la réunion, a estimé que cette rencontre doit permettre de relever des différents défis majeurs, à savoir le financement des actions humanitaires, en soutien aux autorités ivoiriennes, envers les personnes déplacées.
Les participants à cette rencontre initiée par ministre ivoirien de l’emploi, des affaires sociales et de la solidarité, se sont imprégnés "des actions déjà menées et qui restent à mener" en faveurs des déoplacés.
Saluant l’appui des acteurs humanitaires, le ministre de l’emploi, des affaires sociales et de la solidarité, Gilbert Koné Kafana, a affirmé que l’engagement de ceux-ci, aux côtés de la Côte d’Ivoire, permet, depuis quelques mois, d’assister à "un retour massif des déplacés dans leurs localités d`origine, surtout dans la région de l’ouest" du pays.
M. Kafana Koné a aussi indiqué que 8.000 personnes vivent enciore dans les camps de déoplacés, dont 5.000 à Abidjan. Selon lui, il faut faire en sorte que ces personnes retrouvent leur famille, le gouvernement ivoirien souhaitant "que ces sites soient fermés le tôt possible sans désagrément pour les personnes qui y vivent".
Le chef de bureau OCHA bureau de coordination des affaires humanitaires, Max Hadorn, qui a également pris part à la réunion, a estimé que cette rencontre doit permettre de relever des différents défis majeurs, à savoir le financement des actions humanitaires, en soutien aux autorités ivoiriennes, envers les personnes déplacées.