Le Représentant du Secrétaire général des Nations unies pour la Côte d’Ivoire, Bert Koenders, s’est prononcé, lundi 12 mars 2012, à Yamoussoukro, sur la cérémonie inaugurale de la rentrée parlementaire.
Quels commentaires faites-vous de la cérémonie inaugurale de la rentrée parlementaire, à laquelle vous venez de participer ?
Bert Koenders : C’est un moment très important pour la Côte d’Ivoire parce que maintenant, il y a un complément à l’élection présidentielle. On a maintenant mis en place un nouveau président, une Assemblée qui peut fonctionner, qui vraiment représente la population de la Côte d’Ivoire, qui doit traduire les désirs de la population sur les grandes questions de l’Etat, de la réconciliation, de l’identité, le foncier, etc. Je crois que c’est un moment important pour nous : nous avons accompagné ces élections. Moi, je l’ai fait en tant que certificateur. Il y a encore le souci pour les deux circonscriptions de Facobly et Bonon. J’espère que ce sera résolu très vite. Maintenant, il y a le moment pour continuer avec le travail d’Etat, mais aussi avoir un dialogue politique avec l’opposition qui n’est pas ici.
Le fait d’avoir un candidat unique à la présidence de l’Assemblée nationale revêt pour vous quel sens ?
B.K : C’est un peu difficile pour moi de commenter parce que je viens d’une organisation internationale. Je ne peux pas m’impliquer dans les affaires internes. Mais, moi j’ai été parlementaire au Pays-Bas. Ce n’est pas normal d’avoir un candidat. Mais bon le parlement ici est libre d’élire qui il veut élire.
Propos recueillis à Yamoussoukro par SYLLA A.
Quels commentaires faites-vous de la cérémonie inaugurale de la rentrée parlementaire, à laquelle vous venez de participer ?
Bert Koenders : C’est un moment très important pour la Côte d’Ivoire parce que maintenant, il y a un complément à l’élection présidentielle. On a maintenant mis en place un nouveau président, une Assemblée qui peut fonctionner, qui vraiment représente la population de la Côte d’Ivoire, qui doit traduire les désirs de la population sur les grandes questions de l’Etat, de la réconciliation, de l’identité, le foncier, etc. Je crois que c’est un moment important pour nous : nous avons accompagné ces élections. Moi, je l’ai fait en tant que certificateur. Il y a encore le souci pour les deux circonscriptions de Facobly et Bonon. J’espère que ce sera résolu très vite. Maintenant, il y a le moment pour continuer avec le travail d’Etat, mais aussi avoir un dialogue politique avec l’opposition qui n’est pas ici.
Le fait d’avoir un candidat unique à la présidence de l’Assemblée nationale revêt pour vous quel sens ?
B.K : C’est un peu difficile pour moi de commenter parce que je viens d’une organisation internationale. Je ne peux pas m’impliquer dans les affaires internes. Mais, moi j’ai été parlementaire au Pays-Bas. Ce n’est pas normal d’avoir un candidat. Mais bon le parlement ici est libre d’élire qui il veut élire.
Propos recueillis à Yamoussoukro par SYLLA A.