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Art et Culture Publié le mardi 17 avril 2012 | L’intelligent d’Abidjan

Média / Election et des journalistes : La magouille ne veut pas disparaître à l’Unjci

© L’intelligent d’Abidjan Par Nathan Koné
Presse nationale - L`hommage de la presse aux anciens présidents de l`UNJCI
Mercredi 28 avril 2010. Abidjan. Maison de la presse, Plateau. Cérémonie d`hommage aux anciens présidents de l`Union nationale des journalistes de Côte d`Ivoire. Photo: la galerie
Malgré la chute de Laurent Gbagbo et des Refondateurs, qui jouaient leurs protecteurs et parrains, pour les encourager dans l’exclusion et l’arbitraire, les affidés de l’Unjci, non contents de la scission de l’époque, veulent encore tripatouiller les textes, pour imposer une élection sans compétition d’un certain canidat du Conseil exécutif sortant, au prochain congrès de l’Union. Leur trouvaille : avoir participé à 50% des activités de l’Unjci. Leur article 35, qui n’existe nulle part dans les textes relatifs aux conditions d’élligibilité et de candidature. Comme ils ne peuvent plus fouiller l’origine des candidats, ni convoyer des radios de proximité pour se faire élire, ces affidés qui croient que l’Unjci est leur propriété ont décidé de défier la base avec cette invention, qui n’existe dans aucun texte de l’Unjci. C’était hier la clôture du dépôt des candidatures. Moussa Traoré a déposé sa liste. Il devra affronter un candidat du Conseil sortant, comme si le conseil sortant était un parti politique, ou une entité, ne représentant pas l’ensemble des journalistes membres. Le conseil exécutif n’a pas à avoir un candidat. Un candidat à la Fif, même s’il est le président sortant, ou membre du bureau sortant, n’est nullement le candidat de la FIF ou du bureau sortant. Il est candidat au même titre que tous les autres. Les Ivoiriens observent. Les journalistes observent. Il faut laisser les candidats remplissant les conditions définies dans les statuts, se présenter comme pour la FIF. La victoire ou la présidence de Sidy Diallo n’aurait jamais eu la même légitimité qu’elle a aujourd’hui. Si Salif Bictogo avait été invalidé. Il ne sera pas dit que l’injustice et l’imposture vont à nouveau prospérer lors de l’élection à la présidence de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire. Le congrès était prévu les 11,12 et 13 mai. C’est conformément à cela que les candidatures ont été ouvertes, un mois avant. En prélude au retour des 15 journalistes partis en stage en France, les 18,19 et 20 mai sont les dates évoquées désormais vigilance.

I.D
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