Bouaflé – Au total 92 671 enfants de zéro à cinq ans sont visés par à Bouaflé le deuxième passage de la campagne nationale de vaccination contre la poliomyélite dont le lancement s’est déroulé vendredi, à l'école maternelle de la mission catholique, en présence des autorités administratives, sanitaires et religieuses locales.
Cette campagne qui s’étend de vendredi à lundi est couplée de l’administration de la vitamine A aux enfants de six à 59 mois et celle de déparasitant aux tout-petits dont l’âge varie entre 12 et 59 mois.
Le secrétaire général de la préfecture, Diomandé Cyrille a salué la présence des parents d’élèves qui ont fait fi des rumeurs non fondées relatives à la dangerosité du vaccin. « Des personnes véhiculent des informations erronées qui font croire que le vaccin contre la poliomyélite provoque à terme la stérilité. Ce qui pousse certains parents à cacher leurs enfants », a-t-il déploré.
M. Diomandé a exhorté les parents encore réticents à faire vacciner leur progéniture. « A cause des cas de poliovirus sauvage découverts chaque année, l’Etat est obligé de recommencer l’opération pour éviter les contaminations », a souligné l'administrateur civil, invitant les parents à relayer le message auprès d’autres parents encore hésitants.
(AIP)
zaar/cmas
Cette campagne qui s’étend de vendredi à lundi est couplée de l’administration de la vitamine A aux enfants de six à 59 mois et celle de déparasitant aux tout-petits dont l’âge varie entre 12 et 59 mois.
Le secrétaire général de la préfecture, Diomandé Cyrille a salué la présence des parents d’élèves qui ont fait fi des rumeurs non fondées relatives à la dangerosité du vaccin. « Des personnes véhiculent des informations erronées qui font croire que le vaccin contre la poliomyélite provoque à terme la stérilité. Ce qui pousse certains parents à cacher leurs enfants », a-t-il déploré.
M. Diomandé a exhorté les parents encore réticents à faire vacciner leur progéniture. « A cause des cas de poliovirus sauvage découverts chaque année, l’Etat est obligé de recommencer l’opération pour éviter les contaminations », a souligné l'administrateur civil, invitant les parents à relayer le message auprès d’autres parents encore hésitants.
(AIP)
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