Oumé - Vingt-sept agents d'établissements sanitaires des régions du Gôh et de la Marahoué, viennent d'achever, depuis mercredi dernier, à Oumé (région du Gôh), un atelier de formation à la prise en charge de malades de la tuberculose dont la résurgence, ces dernières années, s'expliquerait par ses liens corrélatifs avec l'épidémie du Vih-Sida.
Cet atelier de formation, initié du 15 au 16 mai, par le programme national de lutte contre la tuberculose(PNLT), a notamment porté sur le diagnostic de la tuberculose, le traitement et la stratégie de traitement direct observé(DOTS), ainsi que le Vih-Sida associé à la tuberculose. Il a enregistré également la participation d'agents en provenance d'établissements sanitaires de Gagnoa, de Sinfra et d’Oumé. Cet atelier
Selon le superviseur, docteur Kodjo Kouassi Eric, "cette formation reçue par ces agents est une avancée notable dans la lutte contre la tuberculose dans ces localités", estimant que "ces échanges d’expérience permettront d’aider les malades dans la prise des médicaments". Les participants, qui s'en sont réjouis, ont indiqué que lesc acquis de cette formation leur permettra désormais de mieux maîtriser les méthodes de prévention et les risques de contagion de cette épidémie.
Cet atelier de formation, initié du 15 au 16 mai, par le programme national de lutte contre la tuberculose(PNLT), a notamment porté sur le diagnostic de la tuberculose, le traitement et la stratégie de traitement direct observé(DOTS), ainsi que le Vih-Sida associé à la tuberculose. Il a enregistré également la participation d'agents en provenance d'établissements sanitaires de Gagnoa, de Sinfra et d’Oumé. Cet atelier
Selon le superviseur, docteur Kodjo Kouassi Eric, "cette formation reçue par ces agents est une avancée notable dans la lutte contre la tuberculose dans ces localités", estimant que "ces échanges d’expérience permettront d’aider les malades dans la prise des médicaments". Les participants, qui s'en sont réjouis, ont indiqué que lesc acquis de cette formation leur permettra désormais de mieux maîtriser les méthodes de prévention et les risques de contagion de cette épidémie.