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Art et Culture Publié le mercredi 5 septembre 2012 | L’intelligent d’Abidjan

Evénement / Press-Club de l’Unjci - La rencontre du président Ouattara avec 100 journalistes reportée

Le rendez-vous du Press-Club de l’Unjci avec le président Alassane Ouattara, initialement prévu le 6 septembre 2012 a été reporté à une date ultérieure. L’information a été donnée hier 4 septembre 2012, à la Maison de la presse (Mpa) au Plateau, par Traoré Moussa Hamed, président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci). Les raisons ? L’agenda chargé de l’invité du Press-Club.

«Les services du président de la République nous ont informé que vu l’agenda chargé du chef de l’Etat, il est souhaitable qu’il y ait un léger décalage. Dans les jours à venir, il nous sera communiqué une nouvelle date qui sera la bonne», a dit le président de l’Unjci qui a rassuré les journalistes qu’ils seront «dans un bref délai» face au président de la République. «Sachez que le Press-Club avec le président de la République aura bel et bien lieu. Le président de la République nous l’a promis. C’est un homme de parole. Nous en sommes convaincus. Préparez vos questions, dans quelques jours, vous serez convoqués à nouveau pour cet événement médiatique de l’année et vous aurez l’occasion de poser vos questions au chef de l’Etat», a confié Traoré Hamed.
Face au président de la République, explique le président de l’Unjci, il était prévu cent (100) journalistes sur une base de deux (2) journalistes par quotidien, un journaliste par presse étrangère, un par presse en ligne et un par media audiovisuel. «Mais, sur cette base, nous nous sommes retrouvés à 141 journalistes», a témoigné le président de l’Unjci. Le principe de ce «rendez-vous médiatique de l’année prioritairement destiné aux journalistes ivoiriens qui n’ont pas l’occasion de poser des questions au chef de l’Etat», était d’avoir 90% de questions de journalistes ivoiriens et 10% de la presse étrangère. «Nous étions prêts pour ce grand rendez-vous», a indiqué Traoré Moussa Hamed qui ajoute que des rédactions de renom de l’extérieur s’étaient inscrites à «l’événement de portée internationale».
Koné Saydoo

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Partenariat / Convention entre le CNAC- la Maison de l’Afrique-Madingo
Une union scellée pour promouvoir la culture ivoirienne et africaine
La convention de partenariat entre le CNAC (Centre national des arts et de la culture) et la Maison de l’Afrique-Madingo a été signée, hier mardi 4 septembre 2012, au siège de la structure à Cocody-Danga. Pour le compte du CNAC, le directeur central, Alain Tailly et Madame Diawara Sy-Mariam, Pdg de la Maison de l’Afrique-Madingo ont paraphé et échangé les différents documents. Au nom du ministre de la Culture et de la Francophonie, Fausséni Dembélé s’est réjoui de ce que cette signature s’inscrive dans l’action gouvernementale qui veut faire la part belle au partenariat public et privé. Pour le directeur de cabinet du ministère de la Culture et de la Francophonie, la caution de son mandant démontre la volonté de l’Etat ivoirien de s’engager dans la valorisation de la culture ivoirienne. «L’action de Madame Diawara Sy-Mariam montre que l’industrie culturelle est viable. C’est pourquoi j’invite d’autres partenaires privés à s’inscrire dans cette logique afin de vendre la culture ivoirienne aux Etats-Unis, au Canada, etc.», a souhaité Fausséni Dembélé, directeur de cabinet au ministère de la Culture et de la Francophonie. Le directeur central du CNAC, Alain Tailly a fait savoir que cette signature résulte d’un long chemin parcouru avec une femme dont l’engagement pour l’art est désormais une lapalissade. «Cette signature résulte de 10 mois d’échange et de partage scellés pour mieux positionner l’Afrique et la culture ivoirienne. Le CNAC est une coquille vide pour le moment, mais avec le soutien de la Maison de l’Afrique-Madingo, il pourra compter sur cette expertise. On se félicite de cette occasion. Nous demandons à Madame Diawara de nous ouvrir les portes du monde», a suggéré le directeur central du CNAC. Quant à Madame Diawara Sy-Mariam, elle a traduit toute sa fierté et sa satisfaction de voir aboutir ce partenariat. «La lutte contre le sous-développement en Afrique doit aussi s’organiser autour de ses ressources culturelles, qui, mieux gérées, constitueraient des leviers de croissance au profit de tous : l’Etat, les promoteurs, les consommateurs et les artistes eux-mêmes. Depuis 2002, par exemple, l’industrie culturelle a procuré au Mali 70 milliards de FCFA de recettes en deux ans. La Maison de l’Afrique-Madingo se positionne aujourd’hui au Canada comme un espace de promotion des arts et des cultures africaines», a expliqué la fondatrice de cette structure de promotion de la culture ivoirienne. Les axes du partenariat entre la Maison de l’Afrique-Madingo et le CNAC se déclinent en plusieurs points : la collaboration à la réalisation de projets et d’activités culturelles et artistiques, l’édition de contenus culturels et artistiques et la recherche de partenariat et de mécénat.
Patrick Krou
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