César Ebrokié, journaliste au service politique, au quotidien ivoirien d’informations générales, ‘’Notre Voie’’, a reçu, vendredi dernier, le prix Peter Benenson du meilleur journaliste à l’éducation aux droits humains en Côte d’Ivoire (Edh), au Cerap, à Cocody, en présence de plusieurs acteurs de la société civile. Il a obtenu une note de 13,60 sur 20. Comme récompense, il a décroché, un appareil photo numérique.
Le deuxième prix, le prix Uk-Aid a été remporté par Raymond Loukou de «Rezo-ivoire.net», qui a obtenu un dictaphone numérique. Le troisième prix, du nom de Wagari Mathai, cette grande militante des droits humains, est revenu à Koffi Marie-Paule du quotidien «Le Mandat», qui a eu un téléphone portable.
Benoît Yao Comoé, Coordonnateur national du projet a souligné que les journalistes ivoiriens, maintes fois cloués au pilori pour leur rôle dans la crise, ont démontré à travers ce projet qu’ils sont capables de surpassement. Il a soutenu qu’ils ont fait preuve de professionnalisme en respectant les règles et les exigences de leur métier. «Nous avions à cœur d’amener les journalistes à écrire des articles qui soient fondés sur des textes des instruments juridiques internationaux. Car le faisant, ils s’éloignent de la subjectivité et se rapprochent de l’objectivité. Dans l’ensemble ce pari a été réussi», a avancé le coordonnateur national du projet Edh en Afrique. Aussi, a-t-il affirmé que, cette cérémonie est une grande célébration pour la presse en Côte d’Ivoire.
René Hokou Légré, président la Ligue ivoirienne des droits de l’homme (Lidho) a exhorté les lauréats et l’ensemble des journalistes ayant pris part au projet à œuvrer pour la pérennisation des acquis pour une meilleur sensibilisation des Ivoiriens aux Droits humains.
Guigui Véto, porteur du projet, a indiqué que les objectifs attendus ont été pleinement satisfaits. Il a expliqué que non seulement les journalistes ont été formés aux rudiments des droits économiques socio et culturels (Desc), mais ils ont transmis le savoir à la masse. Au point que l’impact du projet est énorme. Il a indiqué qu’au total, c’est environ 17 journalistes de plusieurs organes qui ont pris part au projet qui a duré plus de trois ans. Ils ont produit environ 25 articles. «Ce n’est pas le nombre qui compte. Il faut voir au delà du nombre, l’impact. Les articles ont été publiés dans des supports qui ont été lus par des milliers de personnes», dira-t-il. Kengoyé Ismaïla, co-porteur du projet, a souhaité que tous les participants travaillent à la pérennisation des acquis.
Le projet d’Education et de formation aux Droits humains en Afrique a été initié par Amnesty internationale afin de permettre aux populations africaines de mieux connaître leurs droits, en vue de mieux revendiquer.
Outres les lauréats, tous les participants au projet ont reçu chacun une récompense.
Gomon Edmond
Le deuxième prix, le prix Uk-Aid a été remporté par Raymond Loukou de «Rezo-ivoire.net», qui a obtenu un dictaphone numérique. Le troisième prix, du nom de Wagari Mathai, cette grande militante des droits humains, est revenu à Koffi Marie-Paule du quotidien «Le Mandat», qui a eu un téléphone portable.
Benoît Yao Comoé, Coordonnateur national du projet a souligné que les journalistes ivoiriens, maintes fois cloués au pilori pour leur rôle dans la crise, ont démontré à travers ce projet qu’ils sont capables de surpassement. Il a soutenu qu’ils ont fait preuve de professionnalisme en respectant les règles et les exigences de leur métier. «Nous avions à cœur d’amener les journalistes à écrire des articles qui soient fondés sur des textes des instruments juridiques internationaux. Car le faisant, ils s’éloignent de la subjectivité et se rapprochent de l’objectivité. Dans l’ensemble ce pari a été réussi», a avancé le coordonnateur national du projet Edh en Afrique. Aussi, a-t-il affirmé que, cette cérémonie est une grande célébration pour la presse en Côte d’Ivoire.
René Hokou Légré, président la Ligue ivoirienne des droits de l’homme (Lidho) a exhorté les lauréats et l’ensemble des journalistes ayant pris part au projet à œuvrer pour la pérennisation des acquis pour une meilleur sensibilisation des Ivoiriens aux Droits humains.
Guigui Véto, porteur du projet, a indiqué que les objectifs attendus ont été pleinement satisfaits. Il a expliqué que non seulement les journalistes ont été formés aux rudiments des droits économiques socio et culturels (Desc), mais ils ont transmis le savoir à la masse. Au point que l’impact du projet est énorme. Il a indiqué qu’au total, c’est environ 17 journalistes de plusieurs organes qui ont pris part au projet qui a duré plus de trois ans. Ils ont produit environ 25 articles. «Ce n’est pas le nombre qui compte. Il faut voir au delà du nombre, l’impact. Les articles ont été publiés dans des supports qui ont été lus par des milliers de personnes», dira-t-il. Kengoyé Ismaïla, co-porteur du projet, a souhaité que tous les participants travaillent à la pérennisation des acquis.
Le projet d’Education et de formation aux Droits humains en Afrique a été initié par Amnesty internationale afin de permettre aux populations africaines de mieux connaître leurs droits, en vue de mieux revendiquer.
Outres les lauréats, tous les participants au projet ont reçu chacun une récompense.
Gomon Edmond
