Bangolo, Les parents d’élèves du village de Béoué (Ouest, région du Guémon), ont protesté vendredi, contre la levée de cotisation de 100 francs de l’inspection primaire de Bangolo auprès de chaque écolier de sa circonscription, pour aider au réaménagement des nouveaux locaux devant abriter l’IEP.
"Nous ne comprenons pas pourquoi c’est nous qui devrons payer pour réinstaller l’IEP. Je n’ai jamais appris que les élèves ivoiriens ont obligation de réunir l’argent nécessaire à la construction des bâtiments de l’inspection" s’est indigné Boblahi Etienne, père de deux élèves inscrits à l’école primaire publique de Béoué.
Selon l’inspecteur de l’enseignement primaire de Bangolo, Gnimbla Norbert, cette levée de cotisation de 100francs par écolier, est une décision des comités de gestion des quatre cantons du village. "Le propriétaire des locaux que nous occupons nous a sommé de libérer les lieux avant la fin de l’année 2012. Nous avons trouvé une villa en mauvais état qui a besoin de réhabilitation. Après une réunion avec eux, les parents d’élèves ont décidé de le faire", a expliqué le premier responsable de l’IEP de Bangolo.
Depuis le début de la crise, l’IEP n’a plus de local fixe. Elle a occupé l’antichambre du foyer communal avant que le maire ne lui trouve un bâtiment.
(AIP)
jn/sn/kam
"Nous ne comprenons pas pourquoi c’est nous qui devrons payer pour réinstaller l’IEP. Je n’ai jamais appris que les élèves ivoiriens ont obligation de réunir l’argent nécessaire à la construction des bâtiments de l’inspection" s’est indigné Boblahi Etienne, père de deux élèves inscrits à l’école primaire publique de Béoué.
Selon l’inspecteur de l’enseignement primaire de Bangolo, Gnimbla Norbert, cette levée de cotisation de 100francs par écolier, est une décision des comités de gestion des quatre cantons du village. "Le propriétaire des locaux que nous occupons nous a sommé de libérer les lieux avant la fin de l’année 2012. Nous avons trouvé une villa en mauvais état qui a besoin de réhabilitation. Après une réunion avec eux, les parents d’élèves ont décidé de le faire", a expliqué le premier responsable de l’IEP de Bangolo.
Depuis le début de la crise, l’IEP n’a plus de local fixe. Elle a occupé l’antichambre du foyer communal avant que le maire ne lui trouve un bâtiment.
(AIP)
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