La justice Ivoirienne vient de rendre son verdict dans l’affaire qui oppose la SOTEXCAO et trois planteurs de la région de Vavoua, que sont Kouadio Georges, Kouraogo Koudyamde Amado et Meh Bouaffou. Mangoua Jacques a été enjoint par le Tribunal de Première Instance de Yopougon de payer au bénéfice des trois plaignants les sommes reliquaires de Quarante quatre millions six cent soixante mille francs CFA (44. 660.000 FCFA). Pour comprendre cette affaire, il faut remonter au mois de Janvier 2013.
En association avec un groupe de planteurs, Kouadio Georges, Kouraogo Koudyamde Amado et Meh Bouaffou livrent à la SOTEXCAO des chargements de fèves de cacao. Le premier chargement de 39 561 kg est reçu par la société, le 02 janvier 2013 quand le second chargement de 38 631 kg arrive à son destinataire le 07 janvier 2013. Le coût de cette marchandise de 78,192tonnes est de 57.808.660FCFA et le montant de location des voitures de livraisons à la charge des acheteurs est fixé 1.850.000 FCFA. Dès réception des produits, SOTEXCAO demande aux vendeurs d’ouvrir un compte pour faciliter et garantir la sécurité du paiement par virement. Les trois associés ouvrent alors un compte à la Banque Sahelo-Saharienne pour l’Investissement et le Commerce (BSIC). Alors qu’ils s’impatientent, les représentants des vendeurs sont invités à Abidjan par l’acheteur et son intermédiaire Konan Marcel. Promesse ferme est faite de payer en espèce la somme due à ses planteurs qui sont venus expressément de Vavoua. Ils devront attendre jusqu’au 25 Février 2013. A cette date, les trois représentants des vendeurs logés à l’Hôtel Binti reçoivent juste 15 millions de FCFA, en espèce. La promesse est faite de payer dans les jours à venir les sommes reliquaires qui s’élèvent 44.658.660 FCFA. Mais ils attendront pendant six (06) mois dans ce complexe hôtelier sans suite. De toute évidence, une plainte conformément aux dispositions de la loi N° 88-650 du 07 juillet 1988 relative à la répression des infractions en matière de commercialisation des produits agricoles tout en omettant de se constituer partie civile pour le paiement du reliquat. Les veudeurs déporent une plante. A la suite du verdict du doyen des juges d’Instruction près le tribunal de Yopougon, trois chèques ont été émis par la SOTEXCAO à l’ordre du greffier en chef du Tribunal de Yopougon, le 12 Juillet 2013 qui se chargera d’encaisser la somme pour les plaignants. Pour les représentants des vendeurs, Kouadio Georges, Kouraogo Koudyamde Amado et Meh Bouaffou, cette décision est la preuve qu’il faut faire confiance à la justice ivoirienne.
K. Hyacinthe
En association avec un groupe de planteurs, Kouadio Georges, Kouraogo Koudyamde Amado et Meh Bouaffou livrent à la SOTEXCAO des chargements de fèves de cacao. Le premier chargement de 39 561 kg est reçu par la société, le 02 janvier 2013 quand le second chargement de 38 631 kg arrive à son destinataire le 07 janvier 2013. Le coût de cette marchandise de 78,192tonnes est de 57.808.660FCFA et le montant de location des voitures de livraisons à la charge des acheteurs est fixé 1.850.000 FCFA. Dès réception des produits, SOTEXCAO demande aux vendeurs d’ouvrir un compte pour faciliter et garantir la sécurité du paiement par virement. Les trois associés ouvrent alors un compte à la Banque Sahelo-Saharienne pour l’Investissement et le Commerce (BSIC). Alors qu’ils s’impatientent, les représentants des vendeurs sont invités à Abidjan par l’acheteur et son intermédiaire Konan Marcel. Promesse ferme est faite de payer en espèce la somme due à ses planteurs qui sont venus expressément de Vavoua. Ils devront attendre jusqu’au 25 Février 2013. A cette date, les trois représentants des vendeurs logés à l’Hôtel Binti reçoivent juste 15 millions de FCFA, en espèce. La promesse est faite de payer dans les jours à venir les sommes reliquaires qui s’élèvent 44.658.660 FCFA. Mais ils attendront pendant six (06) mois dans ce complexe hôtelier sans suite. De toute évidence, une plainte conformément aux dispositions de la loi N° 88-650 du 07 juillet 1988 relative à la répression des infractions en matière de commercialisation des produits agricoles tout en omettant de se constituer partie civile pour le paiement du reliquat. Les veudeurs déporent une plante. A la suite du verdict du doyen des juges d’Instruction près le tribunal de Yopougon, trois chèques ont été émis par la SOTEXCAO à l’ordre du greffier en chef du Tribunal de Yopougon, le 12 Juillet 2013 qui se chargera d’encaisser la somme pour les plaignants. Pour les représentants des vendeurs, Kouadio Georges, Kouraogo Koudyamde Amado et Meh Bouaffou, cette décision est la preuve qu’il faut faire confiance à la justice ivoirienne.
K. Hyacinthe