La Côte d’Ivoire et le Maroc croisent le fer à 13 heures Utc à Fujairah, aux Emirats arabes unis, en huitièmes de finale du Mondial cadets 2013. Un match au goût de revanche pour les Lionceaux que les Eléphanteaux avaient écarté de la Can 2013.
Ils ne se quittent pratiquement plus. Les Lionceaux de l’Atlas et les Eléphanteaux seront encore aux prises aujourd’hui en huitièmes de finale du Mondial Emirats arabes unis 2013 de la catégorie, après s’être frottés lors de la dernière Can des cadets au Maroc (avril-mai 2012). C’était au cours de la demi-finale et les Ivoiriens l’avaient emporté par deux buts à un. Le duel de Fujaïrah, ce mardi, est sans doute une autre paire de manche. Il va falloir, dans les deux camps, aller chercher le billet pour les quarts de finale. Les Marocains, avec leur efficacité (sept buts au premier tour), devront trouver la faille dans une défense ivoirienne qui n’a encaissé que deux buts contre quatre inscrits lors des trois matches de poule. Le coach ivoirien, lui, garde espoir : « Pour la suite, nous ne changerons rien. Au plus haut niveau, il faut plus se concentrer. Nous sommes venus pour apprendre », avait-il déclaré sur les réseaux sociaux avec humilité. Sur le terrain, il s’agira d’autre chose certainement. Les deux équipes ont un style légèrement opposé. Les jeunes pachydermes ont un jeu plus en profondeur et en puissance quand les Maghrébins ont un football plus léché. Qui plus est, les Lionceaux ruminent une vengeance sécrète. Toute chose qui donnera lieu aussi à une bataille psychologique, qu’il faudra absolument gagner. « C’est une équipe que nous connaissons et avec qui on a un petit contentieux à régler », évoquait le coach Abdellah El Idrissi sur le site Aufait Maroc, samedi.
Sanh Séverin
Ils ne se quittent pratiquement plus. Les Lionceaux de l’Atlas et les Eléphanteaux seront encore aux prises aujourd’hui en huitièmes de finale du Mondial Emirats arabes unis 2013 de la catégorie, après s’être frottés lors de la dernière Can des cadets au Maroc (avril-mai 2012). C’était au cours de la demi-finale et les Ivoiriens l’avaient emporté par deux buts à un. Le duel de Fujaïrah, ce mardi, est sans doute une autre paire de manche. Il va falloir, dans les deux camps, aller chercher le billet pour les quarts de finale. Les Marocains, avec leur efficacité (sept buts au premier tour), devront trouver la faille dans une défense ivoirienne qui n’a encaissé que deux buts contre quatre inscrits lors des trois matches de poule. Le coach ivoirien, lui, garde espoir : « Pour la suite, nous ne changerons rien. Au plus haut niveau, il faut plus se concentrer. Nous sommes venus pour apprendre », avait-il déclaré sur les réseaux sociaux avec humilité. Sur le terrain, il s’agira d’autre chose certainement. Les deux équipes ont un style légèrement opposé. Les jeunes pachydermes ont un jeu plus en profondeur et en puissance quand les Maghrébins ont un football plus léché. Qui plus est, les Lionceaux ruminent une vengeance sécrète. Toute chose qui donnera lieu aussi à une bataille psychologique, qu’il faudra absolument gagner. « C’est une équipe que nous connaissons et avec qui on a un petit contentieux à régler », évoquait le coach Abdellah El Idrissi sur le site Aufait Maroc, samedi.
Sanh Séverin
