Gagnoa – Le chef du village de Dodjagnoa, par ailleurs, chef du canton Pacolo (département de Gagnoa, centre-ouest), Noël Gnagno Sakalo, a exprimé, jeudi, sa "totale satisfaction" face à la validation du statut des rois et chefs traditionnels par le gouvernement.
Le gouvernement ivoirien conduit par le Président Alassane Ouattara a validé, mercredi, en conseil des ministres, le statut des rois et chefs traditionnels, en attendant son adoption par le Parlement, rappelle-t-on. Cette décision est la matérialisation d’une promesse électorale faite en octobre 2010.
Joint par téléphone par l’AIP Gagnoa, le chef Gnagno, par ailleurs, journaliste à la Télévision 1ère chaîne, a salué à sa juste valeur cette belle et heureuse initiative, cet heureux accomplissement pour les chefs. Il a remercié le gouvernement et surtout le président de la République pour cette importante décision, et pour avoir respecté la parole donnée.
"Ce statut va nous permettre d’avoir un comportement plus intelligent et un rapport plus clair et plus lisible avec les pouvoirs publics que nous sommes censés représenter dans nos différentes localités", a déclaré M. Gnagno.
Le chef du canton Pacolo et du village de Dodjagnoa, localité située à une quinzaine de kilomètres de Gagnoa, a souligné que cela est une très bonne chose, affirmant attendre que ce statut prenne forme par le vote effectif de la loi par le Parlement, pour voir le contenu qui en sera donné, avant "d’autres réactions".
Il espère que la future loi va immédiatement expliciter comment on devient chef, qui est chef, à quoi il a droit, comment on organise les différents chefs, mais aussi et surtout que les indemnités que ceux-ci percevront ne seront pas sources de difficultés.
Au total, le journaliste-chef de village a souhaité qu’à travers ce statut les chefs aient des facilités pour se loger, pour voyager partout dans le pays, et même hors du pays et des facilités pour se restaurer notamment. En somme, jouir de l’ensemble des prérogatives qui permettent au représentant de toute une communauté d’être honorable.
A Gagnoa, la satisfaction du chef de Dodjagnoa est partagée par toutes les têtes couronnées.
(AIP)
Ja/kkp/Ask
Le gouvernement ivoirien conduit par le Président Alassane Ouattara a validé, mercredi, en conseil des ministres, le statut des rois et chefs traditionnels, en attendant son adoption par le Parlement, rappelle-t-on. Cette décision est la matérialisation d’une promesse électorale faite en octobre 2010.
Joint par téléphone par l’AIP Gagnoa, le chef Gnagno, par ailleurs, journaliste à la Télévision 1ère chaîne, a salué à sa juste valeur cette belle et heureuse initiative, cet heureux accomplissement pour les chefs. Il a remercié le gouvernement et surtout le président de la République pour cette importante décision, et pour avoir respecté la parole donnée.
"Ce statut va nous permettre d’avoir un comportement plus intelligent et un rapport plus clair et plus lisible avec les pouvoirs publics que nous sommes censés représenter dans nos différentes localités", a déclaré M. Gnagno.
Le chef du canton Pacolo et du village de Dodjagnoa, localité située à une quinzaine de kilomètres de Gagnoa, a souligné que cela est une très bonne chose, affirmant attendre que ce statut prenne forme par le vote effectif de la loi par le Parlement, pour voir le contenu qui en sera donné, avant "d’autres réactions".
Il espère que la future loi va immédiatement expliciter comment on devient chef, qui est chef, à quoi il a droit, comment on organise les différents chefs, mais aussi et surtout que les indemnités que ceux-ci percevront ne seront pas sources de difficultés.
Au total, le journaliste-chef de village a souhaité qu’à travers ce statut les chefs aient des facilités pour se loger, pour voyager partout dans le pays, et même hors du pays et des facilités pour se restaurer notamment. En somme, jouir de l’ensemble des prérogatives qui permettent au représentant de toute une communauté d’être honorable.
A Gagnoa, la satisfaction du chef de Dodjagnoa est partagée par toutes les têtes couronnées.
(AIP)
Ja/kkp/Ask
