Daloa - Groguhé Bahi Pacom, 27 ans, peintre en bâtiment, retrouvé mort à l’aube du 28 février, sur la chaussée de l’axe Daloa-Vavoua, au niveau du village de Tagoura, à environ cinq kilomètres de Daloa, a été inhumé mardi.
Selon les témoignages, les faits se sont déroulés dans la nuit du 27 au 28 février dans les environs du village de Tagoura à la suite d’une coupure d’électricité. Se souciant peu de l’obscurité, Groguhé Pacom, natif de Tagoura, aurait, selon nos sources, visité un bistrot du village en compagnie d’amis. Puis contre toute attente, il a demandé à ses amis de continuer la partie de ‘’bière’’, le temps pour lui de faire une course rapide et de les retrouver par la suite.
Sans donner le motif de cette brusque sortie, ni sa destination, il est parti et n’est plus revenu. Il a probablement été tué cette nuit par des inconnus, à un kilomètre plus loin, aux abords de l’église catholique du village de Zaguiguia, où des traces de lutte et de sang auraient été découvertes par la gendarmerie qui a ouvert une enquête.
Le père de la victime, M. Groguhé Boguhé, sergent-chef de police à la retraite, soutient avoir vu au Centre hospitalier régional (CHR) de Daloa où il a fait transférer la victime, de profondes entailles faites en plusieurs endroits du corps, à l’aide d’un objet tranchant.
Par ailleurs, il indique avoir vu son fils pour la dernière fois, au soir du 27 février, après la coupure d’électricité. Il n’a appris son décès que le lendemain matin, par le truchement de son fils cadet, ayant été lui-même alerté par un ami gendarme qui, de passage, a fait la découverte macabre.
(AIP)
yy/kkp/ask
Selon les témoignages, les faits se sont déroulés dans la nuit du 27 au 28 février dans les environs du village de Tagoura à la suite d’une coupure d’électricité. Se souciant peu de l’obscurité, Groguhé Pacom, natif de Tagoura, aurait, selon nos sources, visité un bistrot du village en compagnie d’amis. Puis contre toute attente, il a demandé à ses amis de continuer la partie de ‘’bière’’, le temps pour lui de faire une course rapide et de les retrouver par la suite.
Sans donner le motif de cette brusque sortie, ni sa destination, il est parti et n’est plus revenu. Il a probablement été tué cette nuit par des inconnus, à un kilomètre plus loin, aux abords de l’église catholique du village de Zaguiguia, où des traces de lutte et de sang auraient été découvertes par la gendarmerie qui a ouvert une enquête.
Le père de la victime, M. Groguhé Boguhé, sergent-chef de police à la retraite, soutient avoir vu au Centre hospitalier régional (CHR) de Daloa où il a fait transférer la victime, de profondes entailles faites en plusieurs endroits du corps, à l’aide d’un objet tranchant.
Par ailleurs, il indique avoir vu son fils pour la dernière fois, au soir du 27 février, après la coupure d’électricité. Il n’a appris son décès que le lendemain matin, par le truchement de son fils cadet, ayant été lui-même alerté par un ami gendarme qui, de passage, a fait la découverte macabre.
(AIP)
yy/kkp/ask
