Cohésion sociale / Hamed Bakayoko depuis Abobo : Faisons la paix et allons au développement

Le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko était le vendredi 20 juin 2014 à Anonkoua-Kouté, un village de la commune d’Abobo pour lancer les projets relatifs à la cohésion sociale. A cette occasion, Hamed Bakayoko a déclaré aux populations: « Tous les jours, le pays progresse. Le développement, est palpable. La Côte d’Ivoire est partie, on ne peut pas l’arrêter. Tous les pays développés veulent aider la Côte d’Ivoire. Faisons la paix et allons au développement.» Il a ajouté que le Japon a décidé d’aider la Côte d’Ivoire dans la promotion de la cohésion sociale et de la paix par des projets susceptibles de renforcer l’amitié nationale. Le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité a exhorté les populations d’Abobo et Yopougon à cultiver la cohésion sociale, gage de développement. Il s’est réjoui des efforts de l’Agence japonaise de coopération internationale, initiatrice du projet et a traduit toute sa reconnaissance à la Coopération nippone pour l’appui qu’elle apporte à la Police de la Côte d’Ivoire. Quant à SEM Inoué Susumu, ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire, il a souligné que son pays est prêt à soutenir la cohésion sociale et le développement de la Côte d’Ivoire par des projets rassembleurs. Il a annoncé que des routes et des écoles seront réhabilitées dans les communes d’Abobo et Yopougon, avec l’aide de l’expertise japonaise. Pour les maires Adama Toungara d’Abobo et Gilbert Kafana Koné de Yopougon, la cohésion sociale reste au cœur du développement. A l’unisson, ils ont déclaré que leurs deux communes ont beaucoup souffert des affres de la crise postélectorale tant au niveau des infrastructures que des vies humaines. C’est pourquoi, ils ont traduit toute leur gratitude au gouvernement japonais. Izokoki Iro, Représentant-résident de l’Agence japonaise de coopération internationale en Côte d’Ivoire s’est réjoui d’être l’initiateur du projet pour la Côte d’Ivoire prenant en compte les infrastructures sociales de base.
M.Ouattara