Tambours. Grelots. Chants et danses. Atmosphère surchauffée. C’est dans une ambiance des grands jours que le président français a été accueilli, jeudi 17 juillet, sur l’esplanade de l’hôtel du District d’Abidjan. Après les honneurs militaires qui ont été rendus au premier citoyen de France, il a rejoint la mythique salle Félix Houphouet Boigny de l’hôtel du District, en compagnie de son hôte, le gouverneur Robert Beugré Mambé. A son hôte François Hollande venu lui rendre visite, il lui remettra la clé du District d’Abidjan. Au nom des têtes couronnées, le chef d’Etat français sera élevé également au rang de chef traditionnel.
Ensuite, le gouverneur Beugré Mambé a exprimé sa grande joie de recevoir le président Hollande au nom des populations abidjanaises. Puis il a mis l’accent sur les relations particulières qui lient la Côte d’Ivoire et la France. Il a aussi fait état des liens indissolubles entre l’Afrique et la France et le rôle de premier plan que ce pays joue sur le continent. Il a souhaité que ces liens continuent, se renforcent et soient permanents.
Pour Mambé, la visite que le premier magistrat français rend au District d’Abidjan non seulement honore cette institution, mais elle est aussi et surtout le témoignage d’un signe de grande confiance et de respect. Et cette visite n’est pas sans susciter une profonde admiration à l’égard de l’hôte de marque dont le pays, la France, a été qualifié par le gouverneur du District d’Abidjan de terre de haute spiritualité et de royaume des lettres, arts et culture.
Pour sa part, le président français s’est dit très touché et couvert d’honneur en venant à l’hôtel du District d’Abidjan, un lieu d’autant glorieux, selon ses dires, qu’il a abrité les bureaux d’un des personnages les plus célèbres d’Afrique en tant que maire et qui est devenu par la suite président de la République, en l’occurrence le président Félix Houphouet Boigny.
François Hollande a aussi souhaité la reconstruction rapide de la Côte d’Ivoire, après la crise postélectorale. Il a indiqué, faisant allusion à cette douloureuse parenthèse que les Ivoiriens ont vécue, que la France, en intervenant dans cette crise, a fait son devoir. Puis il a affirmé que la démocratie est la seule réponse aux crises et a formulé le vœu de travailler la main dans la main avec le chef de l’Etat Alassane Ouattara.
Le chef de l’Etat français a également parlé de l’urbanisation de plus en plus forte des populations africaines. S’agissant spécifiquement d’Abidjan, il a dit que la capitale économique de la Côte d’Ivoire est sans doute l’une des plus grandes villes africaines. Cette ville, a-t-il souligné, abrite le deuxième plus grand port d’Afrique. Quant au troisième pont, qui a été construit, il permettra de fluidifier la circulation. Toutes ces choses, selon Hollande, promettent Abidjan à un bel avenir.
Il faut signaler la présence à cette cérémonie de nombreuses personnalités parmi lesquelles les ambassadeurs accrédités en Côte d’Ivoire, la grande chancelière Dagri Diabaté, le président de la Commission dialogue, vérité et réconciliation, Konan Banny. Quant au chef de l’Etat ivoirien, il était représenté par le ministre de l’Intérieur Hamed Bakayoko.
District d’Abidjan
Direction de la Communication
Ensuite, le gouverneur Beugré Mambé a exprimé sa grande joie de recevoir le président Hollande au nom des populations abidjanaises. Puis il a mis l’accent sur les relations particulières qui lient la Côte d’Ivoire et la France. Il a aussi fait état des liens indissolubles entre l’Afrique et la France et le rôle de premier plan que ce pays joue sur le continent. Il a souhaité que ces liens continuent, se renforcent et soient permanents.
Pour Mambé, la visite que le premier magistrat français rend au District d’Abidjan non seulement honore cette institution, mais elle est aussi et surtout le témoignage d’un signe de grande confiance et de respect. Et cette visite n’est pas sans susciter une profonde admiration à l’égard de l’hôte de marque dont le pays, la France, a été qualifié par le gouverneur du District d’Abidjan de terre de haute spiritualité et de royaume des lettres, arts et culture.
Pour sa part, le président français s’est dit très touché et couvert d’honneur en venant à l’hôtel du District d’Abidjan, un lieu d’autant glorieux, selon ses dires, qu’il a abrité les bureaux d’un des personnages les plus célèbres d’Afrique en tant que maire et qui est devenu par la suite président de la République, en l’occurrence le président Félix Houphouet Boigny.
François Hollande a aussi souhaité la reconstruction rapide de la Côte d’Ivoire, après la crise postélectorale. Il a indiqué, faisant allusion à cette douloureuse parenthèse que les Ivoiriens ont vécue, que la France, en intervenant dans cette crise, a fait son devoir. Puis il a affirmé que la démocratie est la seule réponse aux crises et a formulé le vœu de travailler la main dans la main avec le chef de l’Etat Alassane Ouattara.
Le chef de l’Etat français a également parlé de l’urbanisation de plus en plus forte des populations africaines. S’agissant spécifiquement d’Abidjan, il a dit que la capitale économique de la Côte d’Ivoire est sans doute l’une des plus grandes villes africaines. Cette ville, a-t-il souligné, abrite le deuxième plus grand port d’Afrique. Quant au troisième pont, qui a été construit, il permettra de fluidifier la circulation. Toutes ces choses, selon Hollande, promettent Abidjan à un bel avenir.
Il faut signaler la présence à cette cérémonie de nombreuses personnalités parmi lesquelles les ambassadeurs accrédités en Côte d’Ivoire, la grande chancelière Dagri Diabaté, le président de la Commission dialogue, vérité et réconciliation, Konan Banny. Quant au chef de l’Etat ivoirien, il était représenté par le ministre de l’Intérieur Hamed Bakayoko.
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