Katiola, Une mission conjointe d’agents du ministère de l’Agriculture, de la Direction des organisations professionnelles agricoles (DOPA), de la Chambre de l’agriculture et du Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA) a invité, mercredi, à Katiola, les acteurs de la filière karité à mettre en place une interprofession qui regroupera, formera et créera des bureaux de suivi des projets.
Selon le président du bureau national de création de l’interprofession karité, Ali Keita, l’objectif de la mission est d’informer les acteurs à la base, des modalités de mise en place de cette faitière.
"C’est une manière pour le bureau national d’organiser la filière à court terme afin d’aboutir à la fixation du prix du beurre de karité par l’interprofession, à l’image du Conseil du café-cacao", a-t-il révélé.
Le directeur du FIRCA, Toguila Brice, a rassuré que sa structure qui est chargée du programme et des productions forestières, a décidé de financer la recherche appliquée, la mise en place de la filière karité et la création d’une interprofession qui permettra de planifier les projets, d’organiser les femmes, comme pour les autres produits d’exportation.
Ces séances de sensibilisation et de formation qui ont lieu en ce moment à Ferkessédougou, Korhogo, Boundiali et Odienné, prendront fin samedi.
Ce sont plus de 40 000 tonnes de beurre de karité qui sont exportées chaque année par la Côte d’Ivoire qui occupe le cinquième rang mondial.
(AIP)
dg/tba/fmo/kkp/kam
Selon le président du bureau national de création de l’interprofession karité, Ali Keita, l’objectif de la mission est d’informer les acteurs à la base, des modalités de mise en place de cette faitière.
"C’est une manière pour le bureau national d’organiser la filière à court terme afin d’aboutir à la fixation du prix du beurre de karité par l’interprofession, à l’image du Conseil du café-cacao", a-t-il révélé.
Le directeur du FIRCA, Toguila Brice, a rassuré que sa structure qui est chargée du programme et des productions forestières, a décidé de financer la recherche appliquée, la mise en place de la filière karité et la création d’une interprofession qui permettra de planifier les projets, d’organiser les femmes, comme pour les autres produits d’exportation.
Ces séances de sensibilisation et de formation qui ont lieu en ce moment à Ferkessédougou, Korhogo, Boundiali et Odienné, prendront fin samedi.
Ce sont plus de 40 000 tonnes de beurre de karité qui sont exportées chaque année par la Côte d’Ivoire qui occupe le cinquième rang mondial.
(AIP)
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