Considérés comme les favoris a priori du groupe D, le Cameroun et la Côte d’Ivoire se retrouvent aujourd’hui au stade de Malabo dans un face-à-face dont la victoire de l’une entrainerait l’élimination de l’autre. Malheur donc au perdant.
« Un match où la rigueur sera de mise. Le spectacle ne sera sûrement pas le plus beau spectacle de cette compétition ». Les propos d’Hervé Renard dénotent bien ce que sera l’opposition entre la Côte d’Ivoire et le Cameroun ce soir à 18 heures Gmt au stade de Malabo pour le compte de la 3è et dernière journée de la poule D. Dans cette Poule où les deux équipes sont condamnées à la victoire afin d’éviter une élimination précoce. Malgré l’enjeu, le technicien des Eléphants se montre pourtant optimiste et prévient ceux qui lui brandissent le cinglant 4-1 infligé à son équipe lors du match-aller des phases éliminatoires à Yaoundé. « Beaucoup de choses ont changé depuis le match de Yaoundé. C’est un contexte nouveau. Le onze entrant de ce soir sera énormément différent de ce qu’on a connu à Yaoundé ». Hervé Renard compte sur un groupe qui, selon lui, se bonifie au fil des rencontres. « Le groupe gagne de plus en plus en sérénité et l’important, c’est de monter en puissance au fur et à mesure. Le coach des Eléphants se réjouit de ce que ses joueurs s’adaptent aux différents systèmes mis en place. Contre la Guinée, nous avons commencé avec un 4-4-2 et passé à 4-4-3. Contre Le Mali, d’un 4-4-3, nous sommes passés à 3-5-2 » Fait savoir Hervé Renard, très rassurant. « Il n’y a pas de raison que cela ne passe ce soir face au Cameroun ». Du coté des Camerounais, le coach allemand Volker Funke veut minimiser la pression de ce match. « Mes joueurs sont capables de se surmonter car ils savent que nous jouons une finale. Ils sont confiants et prêts pour la bataille de ce soir ». La bataille est donc engagée et malheur donc au vaincu. Dans les deux camps, ça passe ou ça casse. Scénario identique pour la Guinée et le Mali qui se livrent également une bataille fratricide à Mongolo pour une qualification au second tour.
Par DE BOUAFFO
Envoyé spécial à Malabo
« Un match où la rigueur sera de mise. Le spectacle ne sera sûrement pas le plus beau spectacle de cette compétition ». Les propos d’Hervé Renard dénotent bien ce que sera l’opposition entre la Côte d’Ivoire et le Cameroun ce soir à 18 heures Gmt au stade de Malabo pour le compte de la 3è et dernière journée de la poule D. Dans cette Poule où les deux équipes sont condamnées à la victoire afin d’éviter une élimination précoce. Malgré l’enjeu, le technicien des Eléphants se montre pourtant optimiste et prévient ceux qui lui brandissent le cinglant 4-1 infligé à son équipe lors du match-aller des phases éliminatoires à Yaoundé. « Beaucoup de choses ont changé depuis le match de Yaoundé. C’est un contexte nouveau. Le onze entrant de ce soir sera énormément différent de ce qu’on a connu à Yaoundé ». Hervé Renard compte sur un groupe qui, selon lui, se bonifie au fil des rencontres. « Le groupe gagne de plus en plus en sérénité et l’important, c’est de monter en puissance au fur et à mesure. Le coach des Eléphants se réjouit de ce que ses joueurs s’adaptent aux différents systèmes mis en place. Contre la Guinée, nous avons commencé avec un 4-4-2 et passé à 4-4-3. Contre Le Mali, d’un 4-4-3, nous sommes passés à 3-5-2 » Fait savoir Hervé Renard, très rassurant. « Il n’y a pas de raison que cela ne passe ce soir face au Cameroun ». Du coté des Camerounais, le coach allemand Volker Funke veut minimiser la pression de ce match. « Mes joueurs sont capables de se surmonter car ils savent que nous jouons une finale. Ils sont confiants et prêts pour la bataille de ce soir ». La bataille est donc engagée et malheur donc au vaincu. Dans les deux camps, ça passe ou ça casse. Scénario identique pour la Guinée et le Mali qui se livrent également une bataille fratricide à Mongolo pour une qualification au second tour.
Par DE BOUAFFO
Envoyé spécial à Malabo
