ABIDJAN -- Des dizaines de milliers de supporters ivoiriens sont sortis lundi à Abidjan pour accueillir les héros de Guinée équatoriale, les Eléphants, vainqueurs de la 30ème édition de la CAN de football, a constaté Xinhua sur place.
Le vol spécial de la compagnie Air Côte d’Ivoire transportant les footballeurs ivoiriens a atterri à l’aéroport d’Abidjan à 14h05 (locale et GMT) où attendait en bas de l'échelle de coupé, le président Alassane Ouattara.
Vêtu d'une chemise blanche sous un costume sombre, casquette orange sur la tête et écharpe de même couleur au cou, Alassane Ouattara reçoit successivement les officiels, l’encadrement et les joueurs qui descendent de l’avion.
Larges sourires, embrassades sous les nombreux clics d'une nuée de photographes et devant des dizaines de cameras.
A tous, Alassane Ouattara a un petit mot. Et plus encore avec le capitaine des Eléphants, Yaya Touré, qui descend le dernier de l’avion avec le trophée.
Alassane Ouattara réceptionne le trophée, le brandit et main dans la main avec le capitaine des Eléphants, ils font un tour devant un parterre de personnalités administratives, politiques et coutumières sans compter une foule immense rassemblée au sein et aux abords de l’aéroport.
Dans le salon présidentiel, les joueurs ont l’occasion de poser chacun avec le président Alassane Ouattara et le trophée.
Les joueurs prennent place, quelques temps après, dans une caravane sonorisée aménagée pour eux, pendant que Yaya Touré, Alassane Ouattara et le trophée montent dans une voiture décapotable.
Le cortège tente de se frayer un chemin sous les vivas et les cris de joie de la foule qui scande "Copa Barry ! Copa Barry !".
Copa, le gardien de but des Eléphants, a bloqué le dernier tir au but ghanéen avant de réussir le sien propulsant son équipe sur la plus haute marche du podium.
Le cortège doit se rendre au stade Houphouët-Boigny où une fête populaire est organisée en l’honneur des champions d’Afrique.
Le parcours d’une dizaine de kilomètres qui relie l’aéroport au stade a été pris d’assaut par des milliers d’Ivoiriens, hystériques, qui veulent tous saluer, voir, toucher leurs héros.
Les Ivoiriens attendent depuis 23 ans le trophée qu’ils ont remporté pour la première fois en 1992 au Sénégal face au Ghana.
Le vol spécial de la compagnie Air Côte d’Ivoire transportant les footballeurs ivoiriens a atterri à l’aéroport d’Abidjan à 14h05 (locale et GMT) où attendait en bas de l'échelle de coupé, le président Alassane Ouattara.
Vêtu d'une chemise blanche sous un costume sombre, casquette orange sur la tête et écharpe de même couleur au cou, Alassane Ouattara reçoit successivement les officiels, l’encadrement et les joueurs qui descendent de l’avion.
Larges sourires, embrassades sous les nombreux clics d'une nuée de photographes et devant des dizaines de cameras.
A tous, Alassane Ouattara a un petit mot. Et plus encore avec le capitaine des Eléphants, Yaya Touré, qui descend le dernier de l’avion avec le trophée.
Alassane Ouattara réceptionne le trophée, le brandit et main dans la main avec le capitaine des Eléphants, ils font un tour devant un parterre de personnalités administratives, politiques et coutumières sans compter une foule immense rassemblée au sein et aux abords de l’aéroport.
Dans le salon présidentiel, les joueurs ont l’occasion de poser chacun avec le président Alassane Ouattara et le trophée.
Les joueurs prennent place, quelques temps après, dans une caravane sonorisée aménagée pour eux, pendant que Yaya Touré, Alassane Ouattara et le trophée montent dans une voiture décapotable.
Le cortège tente de se frayer un chemin sous les vivas et les cris de joie de la foule qui scande "Copa Barry ! Copa Barry !".
Copa, le gardien de but des Eléphants, a bloqué le dernier tir au but ghanéen avant de réussir le sien propulsant son équipe sur la plus haute marche du podium.
Le cortège doit se rendre au stade Houphouët-Boigny où une fête populaire est organisée en l’honneur des champions d’Afrique.
Le parcours d’une dizaine de kilomètres qui relie l’aéroport au stade a été pris d’assaut par des milliers d’Ivoiriens, hystériques, qui veulent tous saluer, voir, toucher leurs héros.
Les Ivoiriens attendent depuis 23 ans le trophée qu’ils ont remporté pour la première fois en 1992 au Sénégal face au Ghana.
