Abidjan - Le président de la Commission de la CEDEAO, Kadré Désiré Ouédraogo, a salué en son nom propre et en celui des institutions de la Communauté, la victoire des Eléphants de Côte d’Ivoire à l’issue de la 30ème édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2015), qui vient de se jouer en Guinée équatoriale.
«Ce sacre continental, attendu depuis 23 ans, les Eléphants l’ont conquis avec mérite. Aujourd’hui dans chaque ville et village de Côte d’Ivoire, c’est un peuple tout entier qui chante victoire et vibre à l’unisson, et j’en suis profondément ému et réjoui», écrit M. Ouédraogo dans un message rendu public lundi à Abuja et diffusé mercredi.
Il adresse en même temps ses «sincères félicitations» au chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, de même qu’à l’adversaire malheureux des Ivoiriens, l’équipe nationale du Ghana, «avec ses joueurs qui, en plus de leurs talents, ont démontré tout au long de cette compétition un véritable esprit de fair-play».
Pour illustrer son propos à cet égard, le président Ouédraogo a relevé que le milieu de terrain ghanéen Andre Ayew et son coéquipier Christian Atsu se sont vu décerner respectivement les trophées de meilleur buteur et meilleur joueur du tournoi.
«En ma qualité de président de la Commission de la CEDEAO, je suis fier de relever que ce sont deux équipes ouest-africaines qui se sont illustrées en finale de cette CAN», souligne encore M. Ouédraogo, ajoutant que chaque citoyen ouest-africain s’associe à «la liesse populaire ivoirienne pour savourer cette victoire».
«Les Ouest-Africains ont prouvé que les valeurs d’abnégation et de persévérance sont bien de chez nous (car) quels que soient les défis auxquels notre Communauté est confrontée (…), nous avons en nous les ressorts nécessaires pour obtenir la victoire en bout de course», a-t-il noté comme leçon de cette finale.
Kadré Désiré Ouédraogo a conclu par une pensée particulière à l’épidémie d’Ebola qui a failli être le trouble-fête de cette CAN.
Pour rappel, les Eléphants de Côte d’Ivoire ont dominé les Black Stars du Ghana, dimanche par 9 à 8 à l’issue de la fatidique épreuve des tirs au but après 120 minutes de jeu sans le moindre but, remportant ainsi le trophée pour la deuxième fois de leur histoire, après celui de 1992 à Dakar, au Sénégal.
cmas
«Ce sacre continental, attendu depuis 23 ans, les Eléphants l’ont conquis avec mérite. Aujourd’hui dans chaque ville et village de Côte d’Ivoire, c’est un peuple tout entier qui chante victoire et vibre à l’unisson, et j’en suis profondément ému et réjoui», écrit M. Ouédraogo dans un message rendu public lundi à Abuja et diffusé mercredi.
Il adresse en même temps ses «sincères félicitations» au chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, de même qu’à l’adversaire malheureux des Ivoiriens, l’équipe nationale du Ghana, «avec ses joueurs qui, en plus de leurs talents, ont démontré tout au long de cette compétition un véritable esprit de fair-play».
Pour illustrer son propos à cet égard, le président Ouédraogo a relevé que le milieu de terrain ghanéen Andre Ayew et son coéquipier Christian Atsu se sont vu décerner respectivement les trophées de meilleur buteur et meilleur joueur du tournoi.
«En ma qualité de président de la Commission de la CEDEAO, je suis fier de relever que ce sont deux équipes ouest-africaines qui se sont illustrées en finale de cette CAN», souligne encore M. Ouédraogo, ajoutant que chaque citoyen ouest-africain s’associe à «la liesse populaire ivoirienne pour savourer cette victoire».
«Les Ouest-Africains ont prouvé que les valeurs d’abnégation et de persévérance sont bien de chez nous (car) quels que soient les défis auxquels notre Communauté est confrontée (…), nous avons en nous les ressorts nécessaires pour obtenir la victoire en bout de course», a-t-il noté comme leçon de cette finale.
Kadré Désiré Ouédraogo a conclu par une pensée particulière à l’épidémie d’Ebola qui a failli être le trouble-fête de cette CAN.
Pour rappel, les Eléphants de Côte d’Ivoire ont dominé les Black Stars du Ghana, dimanche par 9 à 8 à l’issue de la fatidique épreuve des tirs au but après 120 minutes de jeu sans le moindre but, remportant ainsi le trophée pour la deuxième fois de leur histoire, après celui de 1992 à Dakar, au Sénégal.
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