De nombreux producteurs de mangues du Nord de la Cote d’Ivoire s’opposent à la décision du préfet de Dikoudougou N’dri Kouacou qui a animé le 27 mars dernier dans la salle ‘’Alassane Ouattara’’ de la préfecture de Korhogo la rencontre entre producteurs et exportateurs. C’était lors de la fixation du prix de la mangue dont le prix de caisse est fixé à 2200 F bords champs et 175 le kilogramme prix usine .Et la date du démarrage de la campagne commerciale 2014-2015 fixée au 08 avril 2015. Ils l’ont fait savoir le 29 mars 2015 à korhogo dans un hôtel de la place suite à une grande réunion regroupant uniquement les producteurs venus des différents départements des régions de savanes. Si on niveau des prix les producteurs et les exportateurs sont tombés d’accord il n’en est rien pour la date du démarrage de la campagne commerciale qui les opposent. Les producteurs estiment que les autorités ont été induites en erreur par des exportateurs pressés de finir rapidement avec la campagne de la Cote d’Ivoire peu importe la qualité et se rendre au Mali, Burkina Faso et Sénégal.
La date du 08 avril n’est pas propice trop tôt « car les mangues ne sont pas encore à maturité ensuite la deuxième vague des produits phytosanitaire de traitement des vergers offerts gratuitement par le président de la république est arrivée le 28 mars 2015 à la direction régionale de l’agriculture de korhogo ». Et c’est maintenant que les producteurs viennent les récupérer…ensuite la floraison des vergers a prit un retard considérable cette année par rapports aux années précédentes…a noté leur porte parole Kisseliminan Touré
Soro Tena un autre producteur venu de la région du ‘’tchologo’’ de préciser « Si l’on n y prend garde la mauvaise qualité décriée par la Commission Européenne au risque d’interdire par un embargo les mangues de la Côte d ‘Ivoire pour mauvaise qualité pourrait se présenter pendant cette campagne commerciale 2014-2015 et les efforts du président la république tomberont à l’eau ». Ils ont en effet conclut par un appel au ministre de l’agriculture Coulibaly Mamadou Sangofowa fils de la région et du président de la république afin que la date du 15 avril 2015 soit respectée au risque de se voir frappé par l’embargo de la Commission Européenne. « Nous allons en souffrir de cette interdiction mais les exportateurs pourront poursuivre leurs activités en changeant de pays… ».
Le ministre de l’agriculture avait souligné le 15 février 2015 lors du lancement officiel de traitement des vergers de mangues à la piqûre des mouches de fruits avec le succès appât un produit biologique dont la prise en charge est assuré par le budget national à hauteur de 01 milliards 726 millions FCA. Et la mise à disposition de 200 000 litres de produits biologiques et de 166 pulvérisateurs offert gratuitement par le chef de l’état aux producteurs afin de mener à bien l’opération pour une mangue de qualité exportable sur le marché mondial. « Que la commission Européenne, considérant que le nombre élevé de présence de piqures de mouche est un risque phytosanitaire pour ses états membres se propose d’enclencher une procédure pouvant mener à un embargo, si l’état de Côte d’Ivoire ne propose pas un plan d’action de lutte contre les mouches de fruits… ».
La Côte d’Ivoire exporte sur le marché européen des mangues depuis des décennies dont plus de 95% exportées sont destinées au marché européen. Les volumes exportés qui étaient de 10173 tonnes en 2011 ont doublé pour atteindre 20475 tonnes en 2014. Ces quantités ont fait de notre pays le premier exportateur africain de mangues et le troisième fournisseur mondial sur le marché européen après le Brésil et le Pérou avait dit le ministre Coulibaly
Benogo TOURE
(Correspondant )
La date du 08 avril n’est pas propice trop tôt « car les mangues ne sont pas encore à maturité ensuite la deuxième vague des produits phytosanitaire de traitement des vergers offerts gratuitement par le président de la république est arrivée le 28 mars 2015 à la direction régionale de l’agriculture de korhogo ». Et c’est maintenant que les producteurs viennent les récupérer…ensuite la floraison des vergers a prit un retard considérable cette année par rapports aux années précédentes…a noté leur porte parole Kisseliminan Touré
Soro Tena un autre producteur venu de la région du ‘’tchologo’’ de préciser « Si l’on n y prend garde la mauvaise qualité décriée par la Commission Européenne au risque d’interdire par un embargo les mangues de la Côte d ‘Ivoire pour mauvaise qualité pourrait se présenter pendant cette campagne commerciale 2014-2015 et les efforts du président la république tomberont à l’eau ». Ils ont en effet conclut par un appel au ministre de l’agriculture Coulibaly Mamadou Sangofowa fils de la région et du président de la république afin que la date du 15 avril 2015 soit respectée au risque de se voir frappé par l’embargo de la Commission Européenne. « Nous allons en souffrir de cette interdiction mais les exportateurs pourront poursuivre leurs activités en changeant de pays… ».
Le ministre de l’agriculture avait souligné le 15 février 2015 lors du lancement officiel de traitement des vergers de mangues à la piqûre des mouches de fruits avec le succès appât un produit biologique dont la prise en charge est assuré par le budget national à hauteur de 01 milliards 726 millions FCA. Et la mise à disposition de 200 000 litres de produits biologiques et de 166 pulvérisateurs offert gratuitement par le chef de l’état aux producteurs afin de mener à bien l’opération pour une mangue de qualité exportable sur le marché mondial. « Que la commission Européenne, considérant que le nombre élevé de présence de piqures de mouche est un risque phytosanitaire pour ses états membres se propose d’enclencher une procédure pouvant mener à un embargo, si l’état de Côte d’Ivoire ne propose pas un plan d’action de lutte contre les mouches de fruits… ».
La Côte d’Ivoire exporte sur le marché européen des mangues depuis des décennies dont plus de 95% exportées sont destinées au marché européen. Les volumes exportés qui étaient de 10173 tonnes en 2011 ont doublé pour atteindre 20475 tonnes en 2014. Ces quantités ont fait de notre pays le premier exportateur africain de mangues et le troisième fournisseur mondial sur le marché européen après le Brésil et le Pérou avait dit le ministre Coulibaly
Benogo TOURE
(Correspondant )
