Divo – quelques 32 cas de violences basées sur le genre dont 20 cas d’agressions sexuelles ont été portés à la connaissance de la direction régionale du Lôh-Djiboua du ministère de la solidarité, de famille, de la femme et de l’enfant, a appris mercredi à la faveur de la célébration à Divo de la journée de l’enfant africain.
Ces violences concernent également deux cas de viol sur mineure et cinq cas de violence physique, a indiqué la directrice régionale, Mme Sekongo Mariama.
Elle a exhorté les populations à plus de vigilance pour une prise de conscience collective de tout ce qui touche à la protection de l’enfant.
La direction régionale pour sa part multiplie les campagnes de sensibilisation et de prévention sur les fléaux majeurs de l’heure.
Elle a ainsi participé dans le courant de l’année 2015 à une campagne de sensibilisation de la communauté éducative sur le maintien de la jeune fille à l’école et présenté à maintes occasions des communications sur le phénomène d’enlèvements des enfants et la nécessité de changement de comportement des parents à Divo et Guitry.
L’équipe conduite par Mme Sekongo mène aussi des plaidoyers auprès de la section de tribunal de Divo pour l’établissement d’au moins 600 jugements supplétifs pour des enfants.
La célébration au plan local de la journée de l’enfant africain a été marquée par plusieurs communications d’experts sur le travail des enfants et les mariages forcés et les mariages précoces.
gso/ask
Ces violences concernent également deux cas de viol sur mineure et cinq cas de violence physique, a indiqué la directrice régionale, Mme Sekongo Mariama.
Elle a exhorté les populations à plus de vigilance pour une prise de conscience collective de tout ce qui touche à la protection de l’enfant.
La direction régionale pour sa part multiplie les campagnes de sensibilisation et de prévention sur les fléaux majeurs de l’heure.
Elle a ainsi participé dans le courant de l’année 2015 à une campagne de sensibilisation de la communauté éducative sur le maintien de la jeune fille à l’école et présenté à maintes occasions des communications sur le phénomène d’enlèvements des enfants et la nécessité de changement de comportement des parents à Divo et Guitry.
L’équipe conduite par Mme Sekongo mène aussi des plaidoyers auprès de la section de tribunal de Divo pour l’établissement d’au moins 600 jugements supplétifs pour des enfants.
La célébration au plan local de la journée de l’enfant africain a été marquée par plusieurs communications d’experts sur le travail des enfants et les mariages forcés et les mariages précoces.
gso/ask
