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Grand-Bassam - Des représentants du Ministère de l’Agriculture, du Conseil du Coton et de l’Anacarde, du FIRCA, de l’ANADER ainsi que des partenaires techniques et financiers représentés par le coordonnateur du PSAC et des acteurs de la filière sont réunis mercredi à Grand-Bassam, dans le cadre d’un atelier bilan du conseil agricole dédié aux producteurs d’anacarde de la période 2014-2015.
En procédant à l’ouverture officielle des travaux, le directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture, Coulibaly Siaka Minayaha, a insisté sur l’importance de ce cadre d’échange entre les acteurs de la chaîne de valeur de la filière anacarde qui devra faire le point de l’exercice écoulé tout en corrigeant les faiblesses, et tracer les orientations pour l’exercice suivant.
Le représentant du ministre Coulibaly Mamadou Sangafowa s’est également appesanti sur l’enjeu du conseil agricole tant pour les structures d’encadrement (ANADER), de régulation (Conseil du Coton et de l’Anacarde) et de financement (FIRCA) que pour le bénéficiaires et in fine, pour le pays. D’après lui, c’est le conseil agricole qui fera passer les producteurs du stade d’acteurs dans la filière à celui de professionnels.
Auparavant, le directeur général du Conseil du Coton et de l’Anacarde, Sanogo Malamine, a situé l’intérêt de cette session qui constitue la concrétisation de l’un des principaux axes stratégiques de la reforme des filières coton et anacarde engagée par le gouvernement de Côte d’Ivoire en 2013. Et ce, a-t-il noté, dans le but de remédier à certains dysfonctionnements constatés et d’en assurer le développement durable.
« Les critères d’évaluation de la performance du Conseil Agricole doivent prendre en compte les paramètres liés à la qualité par zone d’encadrement. Il s’agit notamment du grainage, du taux d’humidité, du KOR (Noix vides, Noix rabougries, Noix beurrées, Noix moisies, Noix mitées, Noix piquées, Noix immatures) », a poursuivi le régulateur.
Pour sa part, le directeur général de l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), Dr Cissé Sidiki, a souligné le caractère stratégique de la filière anacarde pour l’économie agricole ivoirienne en général et pour celle des régions productrices en particulier.
Quant au directeur exécutif du Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricoles (FIRCA), Dr Ackah Angniman Pierre, il est revenu sur les projets dont a bénéficié la filière depuis 2008 aux niveaux de la recherche, du renforcement des capacités des organisations professionnelles agricoles (OPA) et du conseil agricole.
Le 21 mars 2014, une convention cadre avait été signée entre le Conseil du Coton et de l’Anacarde, le FIRCA et l’ANADER, pour la mise en œuvre des orientations du volet agricole de la réforme de la filière coton – anacarde.
Le présent atelier bilan a été également le cadre pour la signature de contrats de la direction générale et des directions régionales de l’ANADER avec les deux autres structures partenaires.
cmas
En procédant à l’ouverture officielle des travaux, le directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture, Coulibaly Siaka Minayaha, a insisté sur l’importance de ce cadre d’échange entre les acteurs de la chaîne de valeur de la filière anacarde qui devra faire le point de l’exercice écoulé tout en corrigeant les faiblesses, et tracer les orientations pour l’exercice suivant.
Le représentant du ministre Coulibaly Mamadou Sangafowa s’est également appesanti sur l’enjeu du conseil agricole tant pour les structures d’encadrement (ANADER), de régulation (Conseil du Coton et de l’Anacarde) et de financement (FIRCA) que pour le bénéficiaires et in fine, pour le pays. D’après lui, c’est le conseil agricole qui fera passer les producteurs du stade d’acteurs dans la filière à celui de professionnels.
Auparavant, le directeur général du Conseil du Coton et de l’Anacarde, Sanogo Malamine, a situé l’intérêt de cette session qui constitue la concrétisation de l’un des principaux axes stratégiques de la reforme des filières coton et anacarde engagée par le gouvernement de Côte d’Ivoire en 2013. Et ce, a-t-il noté, dans le but de remédier à certains dysfonctionnements constatés et d’en assurer le développement durable.
« Les critères d’évaluation de la performance du Conseil Agricole doivent prendre en compte les paramètres liés à la qualité par zone d’encadrement. Il s’agit notamment du grainage, du taux d’humidité, du KOR (Noix vides, Noix rabougries, Noix beurrées, Noix moisies, Noix mitées, Noix piquées, Noix immatures) », a poursuivi le régulateur.
Pour sa part, le directeur général de l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), Dr Cissé Sidiki, a souligné le caractère stratégique de la filière anacarde pour l’économie agricole ivoirienne en général et pour celle des régions productrices en particulier.
Quant au directeur exécutif du Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricoles (FIRCA), Dr Ackah Angniman Pierre, il est revenu sur les projets dont a bénéficié la filière depuis 2008 aux niveaux de la recherche, du renforcement des capacités des organisations professionnelles agricoles (OPA) et du conseil agricole.
Le 21 mars 2014, une convention cadre avait été signée entre le Conseil du Coton et de l’Anacarde, le FIRCA et l’ANADER, pour la mise en œuvre des orientations du volet agricole de la réforme de la filière coton – anacarde.
Le présent atelier bilan a été également le cadre pour la signature de contrats de la direction générale et des directions régionales de l’ANADER avec les deux autres structures partenaires.
cmas
