Abidjan (Côte d’Ivoire) - Près de 110 000 femmes bénéficient du Fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI), a annoncé, mardi, à Abidjan la Première Dame du pays, Dominique Ouattara lors de la célébration officielle de la 39è Journée internationale de la femme, autour du thème, « Autonomisation de la Femme : Défis et opportunités pour l’épanouissement de la famille ».
Le FAFCI est un Fonds « remboursable » mis en place par la Première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara pour aider à l’autonomisation des femmes et contribuer à la lutte contre la pauvreté.
Selon Mme Ouattara, le FAFCI doté d’un capital de 10 milliards de FCFA et soutenu par le Président Alassane Ouattara, a permis d’appuyer à ce jour « 110 000 femmes de la Côte d’Ivoire ». Ces femmes, a-t-elle ajouté, « ont réalisé des activités génératrices de revenus ».
Jetant un regard rétrospectif sur le chemin parcouru dans la lutte pour l’émancipation de la femme, elle a invité ses sœurs à « prendre conscience des défis qui restent à relever ». La Première dame a par ailleurs offert aux femmes ivoiriennes divers biens et équipements d’une valeur de 80 MILLIONS de FCFA, en présence du Président Alassane Ouattara et de plusieurs membres du gouvernement.
Dans le message du gouvernement qu’elle a livré à cette occasion, la ministre de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’Enfant, Euphrasie Yao a salué l’engagement du Chef de l’Etat Alassane Ouattara qui a défini comme « l’une des priorités de son second mandat, la promotion de la femme ».
« Cet engagement s’est traduit, entre autres, par l’accroissement du taux de femmes au Gouvernement, qui est ainsi passé de 16 à 25%. Cette décision historique du Chef de l’Etat augure de lendemains meilleurs pour la représentation des femmes en sein des instances de prise de décision », a-t-elle poursuivi.
En dépit de la ferme volonté du Président Ouattara et malgré les nombreux progrès réalisés en faveur des femmes depuis son accession à la magistrature suprême, a souligné Mme Yao, «la condition des femmes demeure encore caractérisée par de nombreuses inégalités dans tous les domaines de la vie politique, économique et sociale ».
Depuis 1975, le 8 mars est proclamé Journée internationale de la femme, pour célébrer la lutte historique concernant l’amélioration des conditions de vie des femmes. Cette journée a été officialisée en 1977 par les Nations-Unies qui l’observent depuis lors.
LS/APA
Le FAFCI est un Fonds « remboursable » mis en place par la Première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara pour aider à l’autonomisation des femmes et contribuer à la lutte contre la pauvreté.
Selon Mme Ouattara, le FAFCI doté d’un capital de 10 milliards de FCFA et soutenu par le Président Alassane Ouattara, a permis d’appuyer à ce jour « 110 000 femmes de la Côte d’Ivoire ». Ces femmes, a-t-elle ajouté, « ont réalisé des activités génératrices de revenus ».
Jetant un regard rétrospectif sur le chemin parcouru dans la lutte pour l’émancipation de la femme, elle a invité ses sœurs à « prendre conscience des défis qui restent à relever ». La Première dame a par ailleurs offert aux femmes ivoiriennes divers biens et équipements d’une valeur de 80 MILLIONS de FCFA, en présence du Président Alassane Ouattara et de plusieurs membres du gouvernement.
Dans le message du gouvernement qu’elle a livré à cette occasion, la ministre de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’Enfant, Euphrasie Yao a salué l’engagement du Chef de l’Etat Alassane Ouattara qui a défini comme « l’une des priorités de son second mandat, la promotion de la femme ».
« Cet engagement s’est traduit, entre autres, par l’accroissement du taux de femmes au Gouvernement, qui est ainsi passé de 16 à 25%. Cette décision historique du Chef de l’Etat augure de lendemains meilleurs pour la représentation des femmes en sein des instances de prise de décision », a-t-elle poursuivi.
En dépit de la ferme volonté du Président Ouattara et malgré les nombreux progrès réalisés en faveur des femmes depuis son accession à la magistrature suprême, a souligné Mme Yao, «la condition des femmes demeure encore caractérisée par de nombreuses inégalités dans tous les domaines de la vie politique, économique et sociale ».
Depuis 1975, le 8 mars est proclamé Journée internationale de la femme, pour célébrer la lutte historique concernant l’amélioration des conditions de vie des femmes. Cette journée a été officialisée en 1977 par les Nations-Unies qui l’observent depuis lors.
LS/APA