Yamoussoukro, Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Coulibaly Sangafowa, a dévoilé au cours d’un atelier bilan du secteur agricole, vendredi à Yamoussoukro, les nouvelles orientations de l’agriculture ivoirienne qui, estime-t-il, après avoir renoué avec la croissance doit passer à l’étape de la transformation des produits pour apporter une plus-value.
« Pour cette étape, nous avons choisi des projets structurants. Tout ce qui est système agropole est la voie de la transformation des produits agricoles », a déclaré M. Sangafowa Coulibaly expliquant que « dans le système des agropoles on adresse les contraintes de l’agriculture de l’amont jusqu’à l’aval. Et on crée les conditions optimales pour attirer les investissements privés dans la transformation des produits ».
« Nous avons un autre projet, un projet de centre de formation professionnelle intégrée qui en réalité porte sur la réforme de notre système de formation professionnelle », a poursuivi le ministre dans le cadre de ses nouvelles perspectives, faisant savoir que le projet divise le pays en cinq aires agro-écologiques homogènes avec des centres de formation, des fermes expérimentales pour aboutir à des formations qualifiantes et diplômantes .
L’objectif, selon le ministre de l’Agriculture et du développement rural, est de moderniser les producteurs, et les moyens de production et d’assurer le renouvellement de la classe des producteurs.
« Il y a un certain nombre de projets phares qui concerne la satisfaction de nos besoins alimentaire », a informé le ministre Coulibaly Sangafowa soulignant qu’au premier rang il y a le riz dont les statistiques indiquaient que seulement 5% de la production est issue de production avec maîtrise de l’eau.
« Le premier objectif, c’est d’inverser cette tendance. C’est-à-dire pourvoir produire du riz avec 95% des quantités issues de la maîtrise de l’eau. Cela veut dire qu’il faut que nous investissions dans les infrastructures hydro-agricoles », a fait remarquer le ministre.
Mamadou Sangafowa Coulibaly a indiqué par ailleurs que tous les projets qui concernent la mise en place de semence de qualité, ainsi que ceux devant permettre de réguler la production entre les zones excédantes et déficitaires, seront réalisés non sans insister qu’en ce qui concerne la gouvernance des faîtières, l’État ne se substituera pas aux structures de production, mais devra s’assurer qu’ils ont la capacité de jouer le rôle qui est le leur.
(AIP)
nam/tm
« Pour cette étape, nous avons choisi des projets structurants. Tout ce qui est système agropole est la voie de la transformation des produits agricoles », a déclaré M. Sangafowa Coulibaly expliquant que « dans le système des agropoles on adresse les contraintes de l’agriculture de l’amont jusqu’à l’aval. Et on crée les conditions optimales pour attirer les investissements privés dans la transformation des produits ».
« Nous avons un autre projet, un projet de centre de formation professionnelle intégrée qui en réalité porte sur la réforme de notre système de formation professionnelle », a poursuivi le ministre dans le cadre de ses nouvelles perspectives, faisant savoir que le projet divise le pays en cinq aires agro-écologiques homogènes avec des centres de formation, des fermes expérimentales pour aboutir à des formations qualifiantes et diplômantes .
L’objectif, selon le ministre de l’Agriculture et du développement rural, est de moderniser les producteurs, et les moyens de production et d’assurer le renouvellement de la classe des producteurs.
« Il y a un certain nombre de projets phares qui concerne la satisfaction de nos besoins alimentaire », a informé le ministre Coulibaly Sangafowa soulignant qu’au premier rang il y a le riz dont les statistiques indiquaient que seulement 5% de la production est issue de production avec maîtrise de l’eau.
« Le premier objectif, c’est d’inverser cette tendance. C’est-à-dire pourvoir produire du riz avec 95% des quantités issues de la maîtrise de l’eau. Cela veut dire qu’il faut que nous investissions dans les infrastructures hydro-agricoles », a fait remarquer le ministre.
Mamadou Sangafowa Coulibaly a indiqué par ailleurs que tous les projets qui concernent la mise en place de semence de qualité, ainsi que ceux devant permettre de réguler la production entre les zones excédantes et déficitaires, seront réalisés non sans insister qu’en ce qui concerne la gouvernance des faîtières, l’État ne se substituera pas aux structures de production, mais devra s’assurer qu’ils ont la capacité de jouer le rôle qui est le leur.
(AIP)
nam/tm