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Dans le cadre de la mise en œuvre de son Programme National d’Investissement Agricole, le Gouvernement ivoirien envisage de mettre en place une Bourse des matières premières agricoles. Pour rendre effectif ce projet, un atelier à l’attention du Comité Technique de Coordination (CTC) composé des représentants des ministères intervenant dans le processus, s’est ouvert jeudi à Bassam.
L’objectif général de l’atelier est de contribuer à la mise en place de la bourse des matières premières agricoles, en approfondissant les réflexions sur les aspects à prendre en compte pour son opérationnalisation.
L’atelier devra permettre de présenter l’étude de faisabilité, les grands axes d’opérationnalisation, une approche de mise en œuvre avec les organes. Puis faire des propositions pour l’élaboration et la mise en application des textes réglementaires.
La création, en Côte d’Ivoire, d’une bourse des matières premières tant pour les cultures de rente que pour les cultures vivrières, devrait conduire à la mise en place d’un mécanisme transparent de formation des prix de contrats fiables et exécutoires et de systèmes de paiements efficaces au bénéfice des exploitants, des négociants, des transformateurs et des exportateurs.
De plus, la bourse des produits agricoles devrait permettre d’améliorer la diffusion de l’information sur les prix et la production et accroître la transparence sur le marché, de renforcer la cohérence sur la qualité et la traçabilité de la production ivoirienne, y compris la production des petites exploitations, de réduire les pertes post- récoltes, d’améliorer la position de négociation des petits producteurs vis-à-vis des grossistes, de réduire les coûts de transaction et la vulnérabilité des producteurs due à la volatilité des prix et d’autres risques; d’améliorer l’efficacité de la chaîne de valeur et de créer les conditions propices pour que les transactions sur la Bourse couvrent le marché national et à terme, le marché régional.
Le PNIA constitue le cadre global de toutes les interventions devant contribuer au développement du secteur agricole. Il se décline en six (6) axes principaux que sont l’amélioration de la productivité et de la compétitivité des productions agricoles, le développement des filières, l’amélioration de la gouvernance du secteur agricole, le renforcement des capacités des parties prenantes au développement de l’agriculture, la gestion durable des ressources halieutiques et enfin la réhabilitation forestière et la relance de la filière bois.
Ont pris part à cet Atelier, des Représentants la Présidence, de l’Assemblée Nationale, des Ministères, d’Organisations Professionnelles agricoles, de Banques et assurances, du Secteur privé agricole, des Structures sous-tutelles des ministères du secteur agricole et partenaires, de Sociétés de téléphonie mobile, d’ONG et de Partenaires au Développement.
Elisée B.
L’objectif général de l’atelier est de contribuer à la mise en place de la bourse des matières premières agricoles, en approfondissant les réflexions sur les aspects à prendre en compte pour son opérationnalisation.
L’atelier devra permettre de présenter l’étude de faisabilité, les grands axes d’opérationnalisation, une approche de mise en œuvre avec les organes. Puis faire des propositions pour l’élaboration et la mise en application des textes réglementaires.
La création, en Côte d’Ivoire, d’une bourse des matières premières tant pour les cultures de rente que pour les cultures vivrières, devrait conduire à la mise en place d’un mécanisme transparent de formation des prix de contrats fiables et exécutoires et de systèmes de paiements efficaces au bénéfice des exploitants, des négociants, des transformateurs et des exportateurs.
De plus, la bourse des produits agricoles devrait permettre d’améliorer la diffusion de l’information sur les prix et la production et accroître la transparence sur le marché, de renforcer la cohérence sur la qualité et la traçabilité de la production ivoirienne, y compris la production des petites exploitations, de réduire les pertes post- récoltes, d’améliorer la position de négociation des petits producteurs vis-à-vis des grossistes, de réduire les coûts de transaction et la vulnérabilité des producteurs due à la volatilité des prix et d’autres risques; d’améliorer l’efficacité de la chaîne de valeur et de créer les conditions propices pour que les transactions sur la Bourse couvrent le marché national et à terme, le marché régional.
Le PNIA constitue le cadre global de toutes les interventions devant contribuer au développement du secteur agricole. Il se décline en six (6) axes principaux que sont l’amélioration de la productivité et de la compétitivité des productions agricoles, le développement des filières, l’amélioration de la gouvernance du secteur agricole, le renforcement des capacités des parties prenantes au développement de l’agriculture, la gestion durable des ressources halieutiques et enfin la réhabilitation forestière et la relance de la filière bois.
Ont pris part à cet Atelier, des Représentants la Présidence, de l’Assemblée Nationale, des Ministères, d’Organisations Professionnelles agricoles, de Banques et assurances, du Secteur privé agricole, des Structures sous-tutelles des ministères du secteur agricole et partenaires, de Sociétés de téléphonie mobile, d’ONG et de Partenaires au Développement.
Elisée B.
