La tempête qui secoue le Front Populaire Ivoirien (FPI) et le Mouvement des Forces d’Avenir (MFA) vient de frapper de plein fouet, le Parti Ivoirien des Travailleurs de Francis Wodié qui peine à retrouver ses marques depuis le départ de ce dernier de la tête de ce parti en 2012 juste après sa nomination à la tête du Conseil constitutionnel.
Elu président de ce parti dans la même année (2012), Ahizi Aka qui succédait là au président fondateur Francis Vangah Wodié, n’a plus, 4 années après et ce avant le terme de son mandat, le contrôle du Pit. Son challenger, Joseph Séka Séka qui, jusque-là, avait du mal à digérer sa cuisante défaite inattendue à ce scrutin, vient de lui ravir le fauteuil présidentiel après une courte bataille politico-juridique qui a finalement tourné en sa faveur. Le tribunal d’Abidjan-Plateau vient de rendre ses actes légaux. Dès lors, doit-on s’attendre à la fin d’un combat fratricide ? Rien n’est encore sûr. Puisque juste à côté, les cas FPI et MFA peuvent faire école. En effet, malgré les décisions de justice, le combat continue de battre son plein en interne ou même en externe dans ces différents partis. Soutenu par le pouvoir qui lui déroule le tapis rouge à toutes les cérémonies où doivent être représentés les partis politiques, le camp Séka Séka croit dur comme fer en son affaire face à Ahizi Aka qui garde un silence total depuis le verdict de ce procès. Le camp Ahizi serait-il en train de préparer la riposte et de quelle manière ? Selon un proche du président Ahizi Aka, joint par téléphone, le feuilleton est loin de connaitre son épilogue. 22 fédérations sur les 35 que compte le parti, se reconnaissant toujours en son président statutaire issu du 4ème congrès, ont interjeté appel du verdict. « Le président Ahizi a interjeté appel. Aussi, faut-il le souligner, 22 fédérations qui ne veulent pas apporter leur caution à cette forfaiture de Séka Séka, ont porté plainte contre lui », a-t-il indiqué. Si l’on jette un coup d’œil à ce qui se passe au FPI et au MFA, le combat est loin de prendre fin. Le match reste alors encore jouable !
JEN
Elu président de ce parti dans la même année (2012), Ahizi Aka qui succédait là au président fondateur Francis Vangah Wodié, n’a plus, 4 années après et ce avant le terme de son mandat, le contrôle du Pit. Son challenger, Joseph Séka Séka qui, jusque-là, avait du mal à digérer sa cuisante défaite inattendue à ce scrutin, vient de lui ravir le fauteuil présidentiel après une courte bataille politico-juridique qui a finalement tourné en sa faveur. Le tribunal d’Abidjan-Plateau vient de rendre ses actes légaux. Dès lors, doit-on s’attendre à la fin d’un combat fratricide ? Rien n’est encore sûr. Puisque juste à côté, les cas FPI et MFA peuvent faire école. En effet, malgré les décisions de justice, le combat continue de battre son plein en interne ou même en externe dans ces différents partis. Soutenu par le pouvoir qui lui déroule le tapis rouge à toutes les cérémonies où doivent être représentés les partis politiques, le camp Séka Séka croit dur comme fer en son affaire face à Ahizi Aka qui garde un silence total depuis le verdict de ce procès. Le camp Ahizi serait-il en train de préparer la riposte et de quelle manière ? Selon un proche du président Ahizi Aka, joint par téléphone, le feuilleton est loin de connaitre son épilogue. 22 fédérations sur les 35 que compte le parti, se reconnaissant toujours en son président statutaire issu du 4ème congrès, ont interjeté appel du verdict. « Le président Ahizi a interjeté appel. Aussi, faut-il le souligner, 22 fédérations qui ne veulent pas apporter leur caution à cette forfaiture de Séka Séka, ont porté plainte contre lui », a-t-il indiqué. Si l’on jette un coup d’œil à ce qui se passe au FPI et au MFA, le combat est loin de prendre fin. Le match reste alors encore jouable !
JEN