Tiébissou– Le coordonnateur du programme national de lutte contre le paludisme, Dr Tanoh Méa Antoine a exhorté la population et notamment celle des villages et des campements, à se départir des préjugés qui constituent un frein à la lutte contre le fléau.
«Contrairement à ce que pensent certains de nos parents, notamment, du monde rural, le soleil ne donne pas le paludisme, c’est seulement la piqûre de l’anophèle qui donne cette maladie endémique dans nos régions. C’est pourquoi je les exhorte à se départir de ces préjugés et à utiliser les moyens de lutte dont la moustiquaire imprégnée », a déclaré le coordonnateur du progamme national de lutte contre le paludisme à l’occasion du lancement de la campagne de sensibilisation sur le paludisme dans trois régions de la Côte d’Ivoire, mardi, dont la ville de Tiébissou.
Il a invité également la population à entretenir son cadre de vie, assurant que la médecine guérit le paludisme, « encore faut-il qu’ils n’arrivent pas à l’hôpital trop tard avec le malade », a-t-il insisté.
myk/kkf/ask
«Contrairement à ce que pensent certains de nos parents, notamment, du monde rural, le soleil ne donne pas le paludisme, c’est seulement la piqûre de l’anophèle qui donne cette maladie endémique dans nos régions. C’est pourquoi je les exhorte à se départir de ces préjugés et à utiliser les moyens de lutte dont la moustiquaire imprégnée », a déclaré le coordonnateur du progamme national de lutte contre le paludisme à l’occasion du lancement de la campagne de sensibilisation sur le paludisme dans trois régions de la Côte d’Ivoire, mardi, dont la ville de Tiébissou.
Il a invité également la population à entretenir son cadre de vie, assurant que la médecine guérit le paludisme, « encore faut-il qu’ils n’arrivent pas à l’hôpital trop tard avec le malade », a-t-il insisté.
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