Abidjan - A l’issue d’un atelier de formation jeudi sur le thème "le rôle des agriculteurs et de leurs organisations dans la mise en œuvre des directives volontaires sur la gouvernance responsable de la gestion des terres, des pêches et des forêts (VGGT) au niveau des pays", l’organisation mondiale des cultivateurs de cacao (OMCC) a élaboré des recommandations rapportées à l’AIP.
Il s’agit notamment d’élargir la formation sur les directives du VGGT à tous les acteurs impliqués dans la gouvernance et la gestion du foncier, les cultivateurs du cacao et leur association (OMCC), les préfets, les sous-préfets, les propriétaires terriens, les ressortissants de la CEDEAO, élaborer avec l’aide de l’OMCC, l’association ivoirienne des sciences agronomiques (AISA) et d’autres partenaires des documents de base pour aider les cultivateurs de cacao formés à la diffusion des résolutions et recommandations de l’Atelier, ainsi que des directives du VGGT.
Définir le domaine foncier global et non résiduel, mettre l’accent sur la certification des exploitations cacaoyères en vue de la sécurisation des parcelles de production de cacao, afin de préserver le leadership de la Côte d’ivoire au niveau de cette spéculation agricole, vulgariser les outils qui résulteront du travail fait par la FAO en vue de la mise en œuvre de la politique foncière de la Côte d’Ivoire, de la sécurisation et de la certification foncière, régler les conflits fonciers en s’appuyant sur le VGGT.
L’OMCC préconise aussi un meilleur accès des femmes et des jeunes aux parcelles agricoles pour la production de cacao à travers l’immatriculation des terres au niveau rural et la certification des parcelles utilisées pour la production cacaoyère, de mieux informer sur les directives du VGGT, pour ce qui concerne les eaux et les forêts, de prendre des mesures au regard du changement climatique et des effets globaux pour protéger les exploitations cacaoyères des feux de brousse.
Juguler les feux de brousse provenant de pays étrangers, mettre l’accent sur le reboisement des plantations cacaoyères en vue d’accroître l’ombrage au profit des plants de cacao et préserver les points d’eau, organiser des missions d’appui de l’OMCC sur le terrain en vue de diffusion du VGGT, éditer un manuel de vulgarisation sur le droit foncier et présenter les résultats de l’atelier au Président du Conseil Economique, Social, Environnemental et Culturel.
L’atelier s’est tenu mercredi et jeudi au siège de l’association ivoirienne des sciences agronomiques (AISA) à Abidjan.
gak/akn/ask
Il s’agit notamment d’élargir la formation sur les directives du VGGT à tous les acteurs impliqués dans la gouvernance et la gestion du foncier, les cultivateurs du cacao et leur association (OMCC), les préfets, les sous-préfets, les propriétaires terriens, les ressortissants de la CEDEAO, élaborer avec l’aide de l’OMCC, l’association ivoirienne des sciences agronomiques (AISA) et d’autres partenaires des documents de base pour aider les cultivateurs de cacao formés à la diffusion des résolutions et recommandations de l’Atelier, ainsi que des directives du VGGT.
Définir le domaine foncier global et non résiduel, mettre l’accent sur la certification des exploitations cacaoyères en vue de la sécurisation des parcelles de production de cacao, afin de préserver le leadership de la Côte d’ivoire au niveau de cette spéculation agricole, vulgariser les outils qui résulteront du travail fait par la FAO en vue de la mise en œuvre de la politique foncière de la Côte d’Ivoire, de la sécurisation et de la certification foncière, régler les conflits fonciers en s’appuyant sur le VGGT.
L’OMCC préconise aussi un meilleur accès des femmes et des jeunes aux parcelles agricoles pour la production de cacao à travers l’immatriculation des terres au niveau rural et la certification des parcelles utilisées pour la production cacaoyère, de mieux informer sur les directives du VGGT, pour ce qui concerne les eaux et les forêts, de prendre des mesures au regard du changement climatique et des effets globaux pour protéger les exploitations cacaoyères des feux de brousse.
Juguler les feux de brousse provenant de pays étrangers, mettre l’accent sur le reboisement des plantations cacaoyères en vue d’accroître l’ombrage au profit des plants de cacao et préserver les points d’eau, organiser des missions d’appui de l’OMCC sur le terrain en vue de diffusion du VGGT, éditer un manuel de vulgarisation sur le droit foncier et présenter les résultats de l’atelier au Président du Conseil Economique, Social, Environnemental et Culturel.
L’atelier s’est tenu mercredi et jeudi au siège de l’association ivoirienne des sciences agronomiques (AISA) à Abidjan.
gak/akn/ask