Les producteurs, pisteurs, acheteurs et exportateurs de noix de cajou ont été invités à s’inscrire dans la "démarche qualité, gage d’un meilleur avenir" pour la filière et d’une redistribution plus accrue de revenus.
"La qualité a certes un coût, mais elle a aussi un prix sur le marché international", a assuré le directeur général du Conseil coton anacarde (CCA), Adama Coulibaly, s’adressant à quelque 300 acteurs lors d’une réunion de sensibilisation sur la qualité du produit, vendredi, à Korhogo.
Des noix de meilleure qualité se vendent plus cher à l’exportation. Une telle situation tire vers le haut le prix d’achat bord champ, ce qui profite également aux producteurs, perçus comme étant le maillon faible de la plate-forme de lutte pour la qualité.
"Tout le monde en bénéficie", a renchéri le secrétaire général de préfecture, Binaté Lacina, expliquant que les devises ainsi captés par l’Etat servent à construire des routes, des hôpitaux, des écoles, etc.
Après avoir remporté la bataille de la quantité en ravissant la place de premier producteur mondial à l’Inde en 2015 avec 700 T, la Côte d’Ivoire s’évertue à gagner celle de la qualité.
L’atteinte de cet objectif passe par la mise en œuvre d’un programme ambitieux de valorisation de la production nationale, au titre duquel la sensibilisation aux bonnes pratiques agricoles, notamment le respect des itinéraires techniques de production, des opérations de récolte et de post-récolte, a fait valoir un spécialiste.
Le défaut de séchage des noix est la plus importante cause de perte de qualité de la noix de cajou ivoirien, a révélé ce spécialiste en invitant les paysans à bien sécher leur produit.
(AIP)
Kaem/kp
"La qualité a certes un coût, mais elle a aussi un prix sur le marché international", a assuré le directeur général du Conseil coton anacarde (CCA), Adama Coulibaly, s’adressant à quelque 300 acteurs lors d’une réunion de sensibilisation sur la qualité du produit, vendredi, à Korhogo.
Des noix de meilleure qualité se vendent plus cher à l’exportation. Une telle situation tire vers le haut le prix d’achat bord champ, ce qui profite également aux producteurs, perçus comme étant le maillon faible de la plate-forme de lutte pour la qualité.
"Tout le monde en bénéficie", a renchéri le secrétaire général de préfecture, Binaté Lacina, expliquant que les devises ainsi captés par l’Etat servent à construire des routes, des hôpitaux, des écoles, etc.
Après avoir remporté la bataille de la quantité en ravissant la place de premier producteur mondial à l’Inde en 2015 avec 700 T, la Côte d’Ivoire s’évertue à gagner celle de la qualité.
L’atteinte de cet objectif passe par la mise en œuvre d’un programme ambitieux de valorisation de la production nationale, au titre duquel la sensibilisation aux bonnes pratiques agricoles, notamment le respect des itinéraires techniques de production, des opérations de récolte et de post-récolte, a fait valoir un spécialiste.
Le défaut de séchage des noix est la plus importante cause de perte de qualité de la noix de cajou ivoirien, a révélé ce spécialiste en invitant les paysans à bien sécher leur produit.
(AIP)
Kaem/kp
