Faire un bilan diagnostic du Programme national d’investissement agricole (PNIA 1) et voir les orientations à donner pour la seconde phase : tels sont les objectifs qui réunissent les différents ministères concernés par le secteur agricole et leurs partenaires techniques et financiers au cours d’un atelier de validation ouvert ce mercredi 31 mai à Grand-Bassam.
M. Coulibaly Siaka, directeur de cabinet, représentant le ministre de l’Agriculture et du Développement rural a à l’ouverture de cet atelier de validation du bilan diagnostic du PNIA dressé le bilan de la première phase.
Selon lui, 2040 milliards FCFA étaient les intentions de financement de la première phase qui a été lancée dans le mois de septembre 2012, après une table ronde de mobilisation de ressources.
Poursuivant dans son intervention, le représentant du ministre Mamadou Sangafowa a félicité les partenaires techniques et financiers qui ont contribué à hauteur de 54 % des ressources.
Concernant l’élaboration du PNIA 2, il a donné des pistes de réflexions pour capitaliser les acquis et apporter des correctifs aux insuffisances du premier PNIA 1.
Toutefois, il a estimé ses inquiétudes face à l’épineux problème du réchauffement climatique qui a un impact important sur l’agriculture. Pour une agriculture plus compétitive à l’horizon 2020, il a souhaité une agriculture plus industrialisée qui passe par la formation des agriculteurs et l’utilisation des nouveaux outils informatiques.
CK
M. Coulibaly Siaka, directeur de cabinet, représentant le ministre de l’Agriculture et du Développement rural a à l’ouverture de cet atelier de validation du bilan diagnostic du PNIA dressé le bilan de la première phase.
Selon lui, 2040 milliards FCFA étaient les intentions de financement de la première phase qui a été lancée dans le mois de septembre 2012, après une table ronde de mobilisation de ressources.
Poursuivant dans son intervention, le représentant du ministre Mamadou Sangafowa a félicité les partenaires techniques et financiers qui ont contribué à hauteur de 54 % des ressources.
Concernant l’élaboration du PNIA 2, il a donné des pistes de réflexions pour capitaliser les acquis et apporter des correctifs aux insuffisances du premier PNIA 1.
Toutefois, il a estimé ses inquiétudes face à l’épineux problème du réchauffement climatique qui a un impact important sur l’agriculture. Pour une agriculture plus compétitive à l’horizon 2020, il a souhaité une agriculture plus industrialisée qui passe par la formation des agriculteurs et l’utilisation des nouveaux outils informatiques.
CK