Alépé - Les fortes pluies qui s’abattent sur le District d’Abidjan et sa banlieue depuis jeudi nuit ont rendu impraticable l’axe Alépé-Abidjan.
«Je voulais effectuer une course rapidement à Abidjan puis rentrer à Alépé pour vaquer à mes occupations professionnelles mais je suis impuissant devant cette route coupée par les eaux», a confié à l'AIP, M. François Attioman, agent de la Centre national de recherche agronomique (CNRA).
Un employé de SNE-Côte d’Ivoire, la société en charge des travaux de construction du pont qui a requis l’anonymat, a informé que les eaux de ruissellement ont emporté les buses, détruisant du coup la déviation qui servait de passage aux véhicules.
Face à cette situation, plusieurs usagers de cette route sont obligés de passer par et Bonoua et Grand-Bassam, pour rallier Abidjan.
« Pour ne pas rater mon stage, je suis obligé de passer par Bonoua et Bassam depuis deux jours. Ce qui, non seulement, rallonge le trajet mais exige plus de frais de transport », a affirmé Traoré Sékou, stagiaire à Abidjan et résident à Alépé.
(AIP)
ayn/bsp/cmas
«Je voulais effectuer une course rapidement à Abidjan puis rentrer à Alépé pour vaquer à mes occupations professionnelles mais je suis impuissant devant cette route coupée par les eaux», a confié à l'AIP, M. François Attioman, agent de la Centre national de recherche agronomique (CNRA).
Un employé de SNE-Côte d’Ivoire, la société en charge des travaux de construction du pont qui a requis l’anonymat, a informé que les eaux de ruissellement ont emporté les buses, détruisant du coup la déviation qui servait de passage aux véhicules.
Face à cette situation, plusieurs usagers de cette route sont obligés de passer par et Bonoua et Grand-Bassam, pour rallier Abidjan.
« Pour ne pas rater mon stage, je suis obligé de passer par Bonoua et Bassam depuis deux jours. Ce qui, non seulement, rallonge le trajet mais exige plus de frais de transport », a affirmé Traoré Sékou, stagiaire à Abidjan et résident à Alépé.
(AIP)
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