Agbakro (Diabo), le 26 septembre 2018- « Nous nous rendons compte aujourd’hui que par ignorance nous avons souvent utilisé des pesticides périmés, interdits ou frauduleux et des emballages contaminés ». C’est l’aveu fait par une agricultrice de Diabo à l’équipe du Projet de Gestion des Pesticides et des Déchets Associés (PROGEP-CI) au cours d’une séance de sensibilisation organisée le 26 septembre 2018 à Agbakro (S/P de Diabo). C’était à l’occasion de la Journée des femmes agricultrices organisée par l’ONG « Diabo, ville émergente » dirigée par YAO Rebecca. Plus de 500 femmes des 15 coopératives agricoles des villages de Soussoubo, Messoukro, Kokokro, Akokokro, Dia Andokro, Bouakro, Yobouekro, Agbakro, Groh, N’Doumoukro, Sinzèkro, Kouamékro, N’gattakro, Golikro ont été sensibilisées sur les risques liés à l’usage des pesticides obsolètes et des déchets associés en présence du Sous-préfet de Diabo, du Chef de canton et de plusieurs Chefs de villages .
Les femmes rurales ont un rôle et un apport décisifs dans la promotion du développement agricole et rural, l’amélioration de la sécurité alimentaire et l’élimination de la pauvreté en milieu rural. Dans ce cadre, elles constituent une cible privilégiée pour le PROGEP-CI qui lutte contre l’utilisation des pesticides périmés, interdits et frauduleux ainsi que les emballages vides. « L’application et la manipulation des pesticides obéissent à des règles particulières. Les femmes et les enfants sont des personnes vulnérables qui ne doivent pas manipuler les pesticides », insiste Marie Ebrottié, Spécialiste en communication au PROGEP-CI. Elle s’est adressée aux femmes en indiquant que le mauvais usage des pesticides et l’utilisation des pesticides périmés, interdits et frauduleux et des emballages déjà utilisés présente nt des risques sanitaires graves sur les utilisateurs, les manipulateurs de ces produits et les populations qui consomment les aliments contaminés. Ils peuvent être cancérigènes, avoir des effets négatifs sur la fertilité, causer bien d’autres maladies graves et même mortelles. Les pesticides obsolètes polluent l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, les sols que nous cultivons, donc notre environnement.
Le Sous-préfet de Diabo qui s’est dit satisfait de la réunion, a lancé un appel au PROGEP-CI en ces termes : « ces séances doivent être multipliées dans notre région pour que les populations cessent d’utiliser des pesticides périmés, interdits et frauduleux et les emballages contaminés qui sont dangereux pour notre santé et pour notre environnement vital ».
Les femmes rurales ont un rôle et un apport décisifs dans la promotion du développement agricole et rural, l’amélioration de la sécurité alimentaire et l’élimination de la pauvreté en milieu rural. Dans ce cadre, elles constituent une cible privilégiée pour le PROGEP-CI qui lutte contre l’utilisation des pesticides périmés, interdits et frauduleux ainsi que les emballages vides. « L’application et la manipulation des pesticides obéissent à des règles particulières. Les femmes et les enfants sont des personnes vulnérables qui ne doivent pas manipuler les pesticides », insiste Marie Ebrottié, Spécialiste en communication au PROGEP-CI. Elle s’est adressée aux femmes en indiquant que le mauvais usage des pesticides et l’utilisation des pesticides périmés, interdits et frauduleux et des emballages déjà utilisés présente nt des risques sanitaires graves sur les utilisateurs, les manipulateurs de ces produits et les populations qui consomment les aliments contaminés. Ils peuvent être cancérigènes, avoir des effets négatifs sur la fertilité, causer bien d’autres maladies graves et même mortelles. Les pesticides obsolètes polluent l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, les sols que nous cultivons, donc notre environnement.
Le Sous-préfet de Diabo qui s’est dit satisfait de la réunion, a lancé un appel au PROGEP-CI en ces termes : « ces séances doivent être multipliées dans notre région pour que les populations cessent d’utiliser des pesticides périmés, interdits et frauduleux et les emballages contaminés qui sont dangereux pour notre santé et pour notre environnement vital ».