Chers compatriotes et chers amis de la Côte d’Ivoire,
Le Président Alassane OUATTARA dans sa vision de construire une Côte d’Ivoire moderne, gouvernée selon les standards internationaux, et tenant compte de nos coutumes, a décidé de créer la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance et lui a confié la mission de lutter contre la corruption et les Infractions assimilées.
La construction de la Côte d’Ivoire moderne, ne peut être facilitée que par l’ivoirien nouveau, appelé de tous ses vœux par le Chef de l’Etat.
Nous devons tous contribuer à son avènement, en changeant de comportement, et en incitant notre entourage à changer de comportement.
La lutte contre la corruption devrait contribuer à l’avènement de l’ivoirien nouveau qui est une condition essentielle pour l’émergence de notre pays.
Il s’agit, cependant, d’une mission complexe et difficile, que la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance ne peut réussir seule.
L’ordonnance qui créée notre institution prévoit, en conséquence, que chaque composante importante de la société ivoirienne puisse jouer son rôle.
C’est ainsi que les services publics, le secteur privé, la société civile, les partis politiques et les médias sont clairement identifiés par l’ordonnance n° 2013-660, avec certaines missions à mener, pour caractériser leurs contributions.
Notre législation prend ainsi en compte le fait que la lutte contre la corruption est une opération qui nécessite la participation de tous, donc une approche collective.
Nous nous en réjouissons, car, chers compatriotes et chers amis de la Côte d’Ivoire, le thème de la Journée internationale de lutte contre la corruption, cette année est et je cite, « Unis contre la corruption pour le développement, la paix et la sécurité ».
Les dirigeants de notre pays se sont engagés dans le cadre de l’atteinte des objectifs de développement durable à promouvoir, notamment, des institutions efficaces, responsables et ouvertes.
Il me plait de rappeler que notre pays a ratifié l’ensemble des instruments internationaux et régionaux, relatifs à la prévention et à la lutte contre la corruption. Mais la mise en œuvre de ces instruments ne peut être correctement réalisée que si nous agissons tous de concert.
C’est donc unis que nous réussirons la lutte contre la corruption et que nous développerons notre pays dans la paix et la sécurité.
Je voudrais réaffirmer que toutes les catégories sociales du pays sont concernées par les actions que la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance engage chaque année, dans le but de maîtriser le triste phénomène qu’est la corruption qui ronge et mine nos sociétés.
J’invite les organisations de la société civile, les comités locaux d’intégrité installés sur l’ensemble du territoire, les institutions et entreprises qui ont déjà mis en place des codes de conduite en leur sein, de continuer à faire des efforts pour l’amélioration de la moralisation de la vie publique, et par conséquent, de l’élimination de la corruption.
Nul n’ignore les dégâts de la corruption sur notre société et les difficultés pour la combattre.
C’est pourquoi, j’invite tous mes compatriotes à s’unir à la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance, afin de relever ensemble, le défi de la lutte contre la corruption.
Je vous remercie.
Le Président Alassane OUATTARA dans sa vision de construire une Côte d’Ivoire moderne, gouvernée selon les standards internationaux, et tenant compte de nos coutumes, a décidé de créer la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance et lui a confié la mission de lutter contre la corruption et les Infractions assimilées.
La construction de la Côte d’Ivoire moderne, ne peut être facilitée que par l’ivoirien nouveau, appelé de tous ses vœux par le Chef de l’Etat.
Nous devons tous contribuer à son avènement, en changeant de comportement, et en incitant notre entourage à changer de comportement.
La lutte contre la corruption devrait contribuer à l’avènement de l’ivoirien nouveau qui est une condition essentielle pour l’émergence de notre pays.
Il s’agit, cependant, d’une mission complexe et difficile, que la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance ne peut réussir seule.
L’ordonnance qui créée notre institution prévoit, en conséquence, que chaque composante importante de la société ivoirienne puisse jouer son rôle.
C’est ainsi que les services publics, le secteur privé, la société civile, les partis politiques et les médias sont clairement identifiés par l’ordonnance n° 2013-660, avec certaines missions à mener, pour caractériser leurs contributions.
Notre législation prend ainsi en compte le fait que la lutte contre la corruption est une opération qui nécessite la participation de tous, donc une approche collective.
Nous nous en réjouissons, car, chers compatriotes et chers amis de la Côte d’Ivoire, le thème de la Journée internationale de lutte contre la corruption, cette année est et je cite, « Unis contre la corruption pour le développement, la paix et la sécurité ».
Les dirigeants de notre pays se sont engagés dans le cadre de l’atteinte des objectifs de développement durable à promouvoir, notamment, des institutions efficaces, responsables et ouvertes.
Il me plait de rappeler que notre pays a ratifié l’ensemble des instruments internationaux et régionaux, relatifs à la prévention et à la lutte contre la corruption. Mais la mise en œuvre de ces instruments ne peut être correctement réalisée que si nous agissons tous de concert.
C’est donc unis que nous réussirons la lutte contre la corruption et que nous développerons notre pays dans la paix et la sécurité.
Je voudrais réaffirmer que toutes les catégories sociales du pays sont concernées par les actions que la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance engage chaque année, dans le but de maîtriser le triste phénomène qu’est la corruption qui ronge et mine nos sociétés.
J’invite les organisations de la société civile, les comités locaux d’intégrité installés sur l’ensemble du territoire, les institutions et entreprises qui ont déjà mis en place des codes de conduite en leur sein, de continuer à faire des efforts pour l’amélioration de la moralisation de la vie publique, et par conséquent, de l’élimination de la corruption.
Nul n’ignore les dégâts de la corruption sur notre société et les difficultés pour la combattre.
C’est pourquoi, j’invite tous mes compatriotes à s’unir à la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance, afin de relever ensemble, le défi de la lutte contre la corruption.
Je vous remercie.