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Art et Culture Publié le vendredi 8 janvier 2010 | Le National

Pourquoi défendre l’indéfendable ?

C’est avec un air amusé que nous avons parcouru les différents chiffons du prétendu journal du peuple. Un journal qui parle de professionnalisme en ne sachant ce que ce mot renferme. En voulant défendre le D.G du port Marcel Gossio et le PDG de Sophia Immobilier pour des espèces sonnantes et trébuchantes « Notre Défi » s’est planté. Parce que l’exercice est rude et puéril. Pour la gouverne du patron de « Notre Défi » qui n’a connu la capitale économique de notre pays qu’en 1997, après avoir usé ses culottes sur les bancs de l’école primaire de Dalia qu’il sache que nous à « Le National » nous n’inventons pas des scénarii comme le faite « Notre Défi » avec la station d’essence Essenci pour chanter les responsables de cette société. En Côte d’Ivoire, nous nous connaissons en détail et Bedel n’est pas le mieux placé pour donner des leçons. Lui, l’escroc notoire qui a fui la France pour ses frasques. Dans sa réplique à « Le National » pour défendre Gossio vraiment voici ce que écrit « Notre Défi » : « le journal du peuple est donc invité à titrer ces accusations aussi graves contre un cadre de la République sans aucune vérification, « Notre Défi », toujours en quête du professionnalisme irréprochable, essaie alors de mener sa petite enquête. » Après avoir lu ces quelques lignes, nous sommes alors situés sur le niveau d’étude de ces écrivaillons de « Notre Défi » qui n’ont fait que débiter des fadaises pour justifier leur pitance quotidienne. En Côte d’Ivoire, la presse n’est pas à la recherche d’un professionnalisme irréprochable parce que, être professionnel c’est être irréprochable. Il y a donc une ambiguïté dans ce professionnalisme irréprochable de Baté Kolé Gadou que lui seul peut nous expliquer. Marcel Gossio ne peut nous dire qu’il n’a pas, face aux preuves qui l’accablent plongé tout son corps dans la magouille. Il est mouillé jusqu’au cou et ce ne sont pas les pleurs de son prétendu hypocondriaque écrivant (pour emprunter le terme à l’autre) qui le feront sortir de l’eau. Marcel Gossio vous êtes pris et bien pris. Quant au papier sur Touré Ahmed Bouah qui a été écrit en Bété parce que pas en Français, nous comprenons les gesticulations de M. Baté Kolé Gadou ce grand abonné au club rouge, qui en son temps avait des liens très étroits avec un consul qui lui délivrait des visas qu’il vendait à des prix exorbitants. Baté Kolé Gadou alias Bedel en écrivant qu’il n’est pas l’avocat défenseur de M. Touré Ahmed Bouah, finit par nous convaincre qu’il est son avocat. Car, « qui s’excuse, s’accuse » nous dit l’adage. Maintenant que ce chiffon de « Notre Défi » a déterré la hache de guerre contre « Le National », le combat ne fait que commencer et, nous verrons qui rira le dernier. Bedel tu as mal choisi ta cible. Cette cible qui a payé tes créances pour t’éviter à maintes reprises la prison. On comprend tes écrits, car tu avais demandé 250000f CFA à Tapé Koulou Laurent sous prétexte que tu venais d’avoir Gossio au téléphone qui t’a dit des choses graves qui confirmaient qu’il le menaçait de mort. Il y a de quoi avoir pitié pour Gossio et Touré Ahmed Bouah qui se confient à un analphabète chronique. La Côte d’Ivoire est vraiment tombée bas. Aux dernières nouvelles Baté Kolé Gadou alias Jean Bedel Mambo aurait fait le pied de grue au bureau de Gossio pour recevoir la minable somme de 300.000 mille francs. Pauvreté quand tu nous tiens !
Y. Kouassi
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